
Baba Sissoko
Le public a vibré aux rythmes de ce concert, fruit d'une création entre le maâlem Gnaoui (grand maître) Kbiber et la troupe malienne Baba Sissoko -huit artistes jouant le tambour et la guitare.
Le festival d'Essaouira a innové il y trois ans en créant des "résidences" où des artistes étrangers et des groupes de Gnaoua marocains produisent des fusions musicales plusieurs jours avant cet évènement artistique.
Ce festival rend hommage chaque année aux troupes folkloriques des Gnaouas, ces descendants d'esclaves noirs dont la musique associe rituel africain et culte des saints de l'islam.
"Plus que jamais, c'est le Maroc de tous les possibles et de toutes les ambitions qui s'est donné rendez-vous aujourd'hui à Essaouira", a déclaré à l'AFP André Azoulay, conseiller du roi Mohammed VI et président de l'Association Essaouira-Mogador (ouest).
Il s'agit d'une "complicité que seule la musique sait donner" avec une "profondeur" et une "vérité partagée par des dizaines de milliers de mélomanes qui ont répondu, dès le premier soir du festival, aux chants gnaouis" a ajouté M. Azoulay qui est membre fondateur du "festival Gnaoua d'Essaouira",
Le chanteur malien Salif Keita, l'Arménien Tigran Hamasyan ainsi que la musique haïtienne figurent parmi les "vedettes" de ce rendez-vous musical, selon les organisateurs.
"Aux cô tés des Gnaoua, c'est le jazz, les sons africains et la musique haïtienne qui investiront la ville pendant quatre jours où la magie est attendue fermement", a affirmé pour sa part Mme Neila Tazi Abdi directrice du festival.
Plusieurs conférences sur la culture et l'art se dérouleront durant ce festival, qui se tient jusqu'au 26 juin sous le signe de la "paix et de la tolérance".
Une quarantaine de concerts gratuits, des résidences d'artistes, des concerts fusions figurent au programme du festival qui prévoit d'accueillir 400.000 spectateurs marocains et étrangers.
Le festival d'Essaouira a innové il y trois ans en créant des "résidences" où des artistes étrangers et des groupes de Gnaoua marocains produisent des fusions musicales plusieurs jours avant cet évènement artistique.
Ce festival rend hommage chaque année aux troupes folkloriques des Gnaouas, ces descendants d'esclaves noirs dont la musique associe rituel africain et culte des saints de l'islam.
"Plus que jamais, c'est le Maroc de tous les possibles et de toutes les ambitions qui s'est donné rendez-vous aujourd'hui à Essaouira", a déclaré à l'AFP André Azoulay, conseiller du roi Mohammed VI et président de l'Association Essaouira-Mogador (ouest).
Il s'agit d'une "complicité que seule la musique sait donner" avec une "profondeur" et une "vérité partagée par des dizaines de milliers de mélomanes qui ont répondu, dès le premier soir du festival, aux chants gnaouis" a ajouté M. Azoulay qui est membre fondateur du "festival Gnaoua d'Essaouira",
Le chanteur malien Salif Keita, l'Arménien Tigran Hamasyan ainsi que la musique haïtienne figurent parmi les "vedettes" de ce rendez-vous musical, selon les organisateurs.
"Aux cô tés des Gnaoua, c'est le jazz, les sons africains et la musique haïtienne qui investiront la ville pendant quatre jours où la magie est attendue fermement", a affirmé pour sa part Mme Neila Tazi Abdi directrice du festival.
Plusieurs conférences sur la culture et l'art se dérouleront durant ce festival, qui se tient jusqu'au 26 juin sous le signe de la "paix et de la tolérance".
Une quarantaine de concerts gratuits, des résidences d'artistes, des concerts fusions figurent au programme du festival qui prévoit d'accueillir 400.000 spectateurs marocains et étrangers.