Ce réseau qui était dirigé par un "ressortissant marocain membre de l'Aqmi voulait faire du Maroc une base arrière pour y préparer des actes terroristes", a indiqué dans un communiqué le ministère marocain de l'Intérieur.
Ce dernier, cité par l'agence marocaine MAP, n'a pas précisé l'identité des prévenus ainsi que la date de leur arrestation.
Ces personnes "projetaient de commettre des actes terroristes à l'aide de ceintures explosives et de voitures piégées contre les services de sécurité marocains", a ajouté le ministère de l'Intérieur.
Lors du "démantèlement de cette cellule, selon la même source, "une quantité d'armes (dissimulées) dans trois caches, a été découverte près d'Amgala, à 220 km de Laâyoune", chef lieu du Sahara occidental, a-t-on conclu de même source.
La nature de cet "arsenal" n'a pas été non plus précisée.
Selon des experts, les combattants d'Aqmi sont basés aux confins de l'Algérie, du Mali et de la Mauritanie.
Ce dernier, cité par l'agence marocaine MAP, n'a pas précisé l'identité des prévenus ainsi que la date de leur arrestation.
Ces personnes "projetaient de commettre des actes terroristes à l'aide de ceintures explosives et de voitures piégées contre les services de sécurité marocains", a ajouté le ministère de l'Intérieur.
Lors du "démantèlement de cette cellule, selon la même source, "une quantité d'armes (dissimulées) dans trois caches, a été découverte près d'Amgala, à 220 km de Laâyoune", chef lieu du Sahara occidental, a-t-on conclu de même source.
La nature de cet "arsenal" n'a pas été non plus précisée.
Selon des experts, les combattants d'Aqmi sont basés aux confins de l'Algérie, du Mali et de la Mauritanie.