C'est la première tentative de suicide par le feu signalée au Maroc après les récentes tentatives d'immolation dans plusieurs pays de la région à la suite de la révolte en Tunisie.
Interrogée par l'AFP sur un éventuel lien avec ces événements, une source au ministère marocain de l'Intérieur a déclaré qu'"il s'agissait d'un problème familial et d'un cas isolé n'ayant rien à voir" avec ceux-ci.
Le 17 décembre, un jeune Tunisien, à qui les autorités avaient refusé un permis pour vendre dans la rue des fruits et des légumes, a mis fin à ses jours en s'immolant par le feu.
Sa mort a marqué le début d'une révolte populaire qui a contraint à l'exil le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, au pouvoir depuis 23 ans.
Plusieurs tentatives d'immolation ont ensuite eu lieu en Egypte, en Algérie et en Mauritanie.
L'homme, qui a tenté de se suicider au Maroc, a été admis dans un hô pital à Casablanca, mais ses jours n'étaient pas en danger, ont indiqué les autorités locales à l'AFP.
Selon l'un de ses proches, cité par l'agence marocaine, il aurait agi ainsi pour exprimer son désespoir après des problèmes d'héritage avec des membres de sa famille.
Plusieurs tentatives de suicide par le feu ont eu lieu au Maroc en 2004 et 2008, mais sans faire de morts.
En 2010, un groupe de jeunes diplô més-chô meurs avait tenté de s'immoler par le feu à Rabat, où les pompiers avaient mis fin à leur tentative collective.
Certains de ces diplô més sans emploi manifestaient régulièrement depuis des années devant le Parlement à Rabat, réclamant d'entrer dans la fonction publique.
Ils ont suspendu temporairement leur mouvement à la fin de la semaine, après avoir reçu des assurances de la part du gouvernement. Le premier ministre Abbas El Fassi s'est engagé à leur accorder un quota sur le nombre de postes créés dans l'administration en 2011.
"L'an dernier nous avons recruté 1.300 (diplô més-chomeurs). Nous voulons obtenir le même résultat que les années précédentes", a déclaré M. El Fassi à l'AFP, précisant que des réunions auraient lieu la semaine prochaine dans cette perpective.
Interrogée par l'AFP sur un éventuel lien avec ces événements, une source au ministère marocain de l'Intérieur a déclaré qu'"il s'agissait d'un problème familial et d'un cas isolé n'ayant rien à voir" avec ceux-ci.
Le 17 décembre, un jeune Tunisien, à qui les autorités avaient refusé un permis pour vendre dans la rue des fruits et des légumes, a mis fin à ses jours en s'immolant par le feu.
Sa mort a marqué le début d'une révolte populaire qui a contraint à l'exil le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, au pouvoir depuis 23 ans.
Plusieurs tentatives d'immolation ont ensuite eu lieu en Egypte, en Algérie et en Mauritanie.
L'homme, qui a tenté de se suicider au Maroc, a été admis dans un hô pital à Casablanca, mais ses jours n'étaient pas en danger, ont indiqué les autorités locales à l'AFP.
Selon l'un de ses proches, cité par l'agence marocaine, il aurait agi ainsi pour exprimer son désespoir après des problèmes d'héritage avec des membres de sa famille.
Plusieurs tentatives de suicide par le feu ont eu lieu au Maroc en 2004 et 2008, mais sans faire de morts.
En 2010, un groupe de jeunes diplô més-chô meurs avait tenté de s'immoler par le feu à Rabat, où les pompiers avaient mis fin à leur tentative collective.
Certains de ces diplô més sans emploi manifestaient régulièrement depuis des années devant le Parlement à Rabat, réclamant d'entrer dans la fonction publique.
Ils ont suspendu temporairement leur mouvement à la fin de la semaine, après avoir reçu des assurances de la part du gouvernement. Le premier ministre Abbas El Fassi s'est engagé à leur accorder un quota sur le nombre de postes créés dans l'administration en 2011.
"L'an dernier nous avons recruté 1.300 (diplô més-chomeurs). Nous voulons obtenir le même résultat que les années précédentes", a déclaré M. El Fassi à l'AFP, précisant que des réunions auraient lieu la semaine prochaine dans cette perpective.