Il est 22 H. La scène Bouregreg est déjà en ébullition. L'impatience d’un public déjà acquis à l’artiste se fait sentir et l’assistance scrute chaque mouvement sur la scène. Et c’est justement un mélange de clameurs, de hurlements et d’applaudissements qui accueille le rappeur franco-congolais, apparu enfin sous les feux des projecteurs vêtu du maillot de l’équipe nationale de football de la République démocratique du Congo.
Arrivé sur scène sur le morceau "A Change Is Gonna Come" de Sam Cooke, Youssoupha a enchaîné par ses tubes "Salaam", "Grand Paris", "M’en aller", "La cassette", "Chanson française" et " Apprentissage", naviguant entre ses premiers albums et son dernier opus "Polaroïd Experience".
Des allers retours entre passé et présent qui laissent entrevoir l’énorme évolution musicale de celui que l’on surnomme le "lyriciste bantou". "Au début je n’étais rien", s’exclame d'ailleurs Youssoupha dans un aveu vrai et sans concessions face à un public ému par l’interaction sincère du rappeur.
Accompagné par un batteur, des choristes et un claviériste, Youssoupha s’est imposé par son énergie vocale indomptable, pure et singulière en interprétant "Entourage", "A cause de moi" et "Les disques de mon père".
De sa musique puissante et vibrante, le natif de Kinshasa a su ambiancer le public sur fond de danse congolaise, avant de se mouvoir avec l’assistance grâce à son titre "Smile", donnant naissance à une véritable communion musicale au son des "you make me smile" répétés mélodieusement par les choristes.
"Par amour", "On se connaît", et tant d’autres titres ont retenti sur la scène, interprétés par la voix puissante du rappeur dont la plume se démarque immédiatement. Youssoupha a réservé à son public des moments d’émotion, mais également des purs instants déchaînés, durant lesquels le rappeur n’a pas hésité à plaisanter avec son public, à interagir sans complexe et sans gêne, toujours dans la bonne humeur et l’atmosphère intimiste qu’il maîtrise à la perfection.
Né en 1979 à Kinshasa, en République démocratique du Congo, Youssoupha, de son nom complet Youssoupha Mabiki a su dominer le rap français par son verbe et sa liberté de parole. Riche de la double culture africaine et européenne, son rap est souvent qualifié de rap politique ou rap conscient. Ses chansons s'inspirent de sa jeunesse et de la vie en banlieue.
Avec plus de 2 millions de festivaliers pour chacune de ses dernières éditions, Mawazine est considéré comme le deuxième plus grand événement culturel au monde.
La 18è édition de cette grand-messe musicale, organisée à l'initiative de l'Association Maroc Cultures sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, propose une programmation riche et exigeante avec à l'honneur de grandes stars de la chanson mondiale et arabe.
Arrivé sur scène sur le morceau "A Change Is Gonna Come" de Sam Cooke, Youssoupha a enchaîné par ses tubes "Salaam", "Grand Paris", "M’en aller", "La cassette", "Chanson française" et " Apprentissage", naviguant entre ses premiers albums et son dernier opus "Polaroïd Experience".
Des allers retours entre passé et présent qui laissent entrevoir l’énorme évolution musicale de celui que l’on surnomme le "lyriciste bantou". "Au début je n’étais rien", s’exclame d'ailleurs Youssoupha dans un aveu vrai et sans concessions face à un public ému par l’interaction sincère du rappeur.
Accompagné par un batteur, des choristes et un claviériste, Youssoupha s’est imposé par son énergie vocale indomptable, pure et singulière en interprétant "Entourage", "A cause de moi" et "Les disques de mon père".
De sa musique puissante et vibrante, le natif de Kinshasa a su ambiancer le public sur fond de danse congolaise, avant de se mouvoir avec l’assistance grâce à son titre "Smile", donnant naissance à une véritable communion musicale au son des "you make me smile" répétés mélodieusement par les choristes.
"Par amour", "On se connaît", et tant d’autres titres ont retenti sur la scène, interprétés par la voix puissante du rappeur dont la plume se démarque immédiatement. Youssoupha a réservé à son public des moments d’émotion, mais également des purs instants déchaînés, durant lesquels le rappeur n’a pas hésité à plaisanter avec son public, à interagir sans complexe et sans gêne, toujours dans la bonne humeur et l’atmosphère intimiste qu’il maîtrise à la perfection.
Né en 1979 à Kinshasa, en République démocratique du Congo, Youssoupha, de son nom complet Youssoupha Mabiki a su dominer le rap français par son verbe et sa liberté de parole. Riche de la double culture africaine et européenne, son rap est souvent qualifié de rap politique ou rap conscient. Ses chansons s'inspirent de sa jeunesse et de la vie en banlieue.
Avec plus de 2 millions de festivaliers pour chacune de ses dernières éditions, Mawazine est considéré comme le deuxième plus grand événement culturel au monde.
La 18è édition de cette grand-messe musicale, organisée à l'initiative de l'Association Maroc Cultures sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, propose une programmation riche et exigeante avec à l'honneur de grandes stars de la chanson mondiale et arabe.