Co-organisée par l'Institut national de l'audiovisuel (INA), cette 17e conférence générale aura pour fil rouge : « Le pari de la Méditerranée ».
A cette occasion, seront présentés trois projets phares mis en orbite en avril 2009, lors de la précédente conférence annuelle de la Copeam : le projet de chaîne de télévision méditerranéenne diffusée par satellite ; le projet d’université audiovisuelle de la Méditerranée, premier réseau d'universités et d'écoles d'enseignement audiovisuel et de cinéma du bassin méditerranéen ; et le projet Med-Mem, premier portail Internet regroupant les archives audiovisuelles méditerranéen.
Cette conférence permettra aux acteurs de peaufiner leurs dossiers en vue de la réunion des ministres de la Culture puis le sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l'Union pour la Méditerranée prévus en juin 2010.
Israël encore absent ?
La Copeam, présidée par Emmanuel Hoog, PDG de l'INA, réunit annuellement les opérateurs de l'audiovisuel et de la culture de la région euro-méditerranéenne. Le secrétariat général est basé à Rome où il est hébergé par la RAI.
Quatorze ans après sa création au Caire, elle s’est imposée au fil du temps comme le « réseau des réseaux » en matière d'audiovisuel méditerranéen.
Elle réunit aujourd’hui plus de 130 entreprises audiovisuelles de 25 pays, parmi lesquels les principaux radio-diffuseurs publics de la région, ainsi que les deux grandes Unions de radiotélévision européenne, UER (Union Européenne de Radio-Télévision), et arabe, ASBU (Arab States Broadcasting Union).
Son ambition est de regrouper l'ensemble des acteurs - publics comme privés - des médias (télévision, radio, Internet, producteurs), mais aussi de contribuer à l'organisation de manifestations culturelles et de festivals.
Cette belle intention se heurte toutefois aux tensions entre les pays arabes et Israël. Exclu des discussions, l’Etat israélien avait boycotté la dernière conférence permanente dans la capitale égyptienne.
Dans la résolution finale, les membres de la Copeam lui avaient tendu la main en rappelant que depuis sa création, cette institution veut « être un instrument de lutte contre l'ostracisme, le repli sur soi, la xénophobie et toutes les formes d'intégrisme ».
A cette occasion, seront présentés trois projets phares mis en orbite en avril 2009, lors de la précédente conférence annuelle de la Copeam : le projet de chaîne de télévision méditerranéenne diffusée par satellite ; le projet d’université audiovisuelle de la Méditerranée, premier réseau d'universités et d'écoles d'enseignement audiovisuel et de cinéma du bassin méditerranéen ; et le projet Med-Mem, premier portail Internet regroupant les archives audiovisuelles méditerranéen.
Cette conférence permettra aux acteurs de peaufiner leurs dossiers en vue de la réunion des ministres de la Culture puis le sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l'Union pour la Méditerranée prévus en juin 2010.
Israël encore absent ?
La Copeam, présidée par Emmanuel Hoog, PDG de l'INA, réunit annuellement les opérateurs de l'audiovisuel et de la culture de la région euro-méditerranéenne. Le secrétariat général est basé à Rome où il est hébergé par la RAI.
Quatorze ans après sa création au Caire, elle s’est imposée au fil du temps comme le « réseau des réseaux » en matière d'audiovisuel méditerranéen.
Elle réunit aujourd’hui plus de 130 entreprises audiovisuelles de 25 pays, parmi lesquels les principaux radio-diffuseurs publics de la région, ainsi que les deux grandes Unions de radiotélévision européenne, UER (Union Européenne de Radio-Télévision), et arabe, ASBU (Arab States Broadcasting Union).
Son ambition est de regrouper l'ensemble des acteurs - publics comme privés - des médias (télévision, radio, Internet, producteurs), mais aussi de contribuer à l'organisation de manifestations culturelles et de festivals.
Cette belle intention se heurte toutefois aux tensions entre les pays arabes et Israël. Exclu des discussions, l’Etat israélien avait boycotté la dernière conférence permanente dans la capitale égyptienne.
Dans la résolution finale, les membres de la Copeam lui avaient tendu la main en rappelant que depuis sa création, cette institution veut « être un instrument de lutte contre l'ostracisme, le repli sur soi, la xénophobie et toutes les formes d'intégrisme ».