
"La garde à vue est maintenue, on refera le point en fin de matinée", a dit à l'AFP Claude Palpacuer, procureur adjoint à Strasbourg.
Le magistrat a ainsi démenti des informations rapportées par d'autres médias selon lesquelles le jeune homme aurait été relâché.
L'adolescent, qui selon une source proche de l'enquête présente une "forte ressemblance" avec la photo de l'internaute suspecté d'avoir envoyé des menaces mardi dernier depuis un cybercafé de Strasbourg, avait été interpellé dimanche après-midi en Haute-Saône et transféré ensuite à Strasbourg pour les besoins de l'enquête.
Samedi, deux frères d'une vingtaine d'années avaient déjà été interpellés au domicile de leurs parents à Autun (Saône-et-Loire). Mais cette piste avait rapidement été écartée et les suspects avaient pu repartir du commissariat sans qu'aucune charge ne soit retenue contre eux.
Vendredi, plus de 750 policiers et gendarmes avaient été déployés devant les 59 lycées du Bas-Rhin, et le dispositif de sécurité maintenu autour des établissements encore ouverts samedi matin, après qu'un internaute anonyme eut posté sur un forum sur internet un message dans lequel il menaçait de commettre un massacre dans un lycée, puis de se suicider.
Le magistrat a ainsi démenti des informations rapportées par d'autres médias selon lesquelles le jeune homme aurait été relâché.
L'adolescent, qui selon une source proche de l'enquête présente une "forte ressemblance" avec la photo de l'internaute suspecté d'avoir envoyé des menaces mardi dernier depuis un cybercafé de Strasbourg, avait été interpellé dimanche après-midi en Haute-Saône et transféré ensuite à Strasbourg pour les besoins de l'enquête.
Samedi, deux frères d'une vingtaine d'années avaient déjà été interpellés au domicile de leurs parents à Autun (Saône-et-Loire). Mais cette piste avait rapidement été écartée et les suspects avaient pu repartir du commissariat sans qu'aucune charge ne soit retenue contre eux.
Vendredi, plus de 750 policiers et gendarmes avaient été déployés devant les 59 lycées du Bas-Rhin, et le dispositif de sécurité maintenu autour des établissements encore ouverts samedi matin, après qu'un internaute anonyme eut posté sur un forum sur internet un message dans lequel il menaçait de commettre un massacre dans un lycée, puis de se suicider.