Selon les chercheurs qui ont réalisé cette étude, il est nécessaire d'adopter des mesures énergiques afin de diminuer les rejets de mercure dans les océans. 75% du mercure qui pénètre dans l'organisme des personnes à travers le monde provient des poissons maritimes, rappelle le magazine.
Actuellement, la concentration moyenne en mercure dans l'eau océanique s'élève à environ 0,23 nanogrammes par litre. Selon les chercheurs, ce niveau pourrait augmenter de 50% d'ici 2050 si les rejets ne diminuent pas.
"Cette étude permet de mieux comprendre comment des concentrations dangereuses de mercure se retrouvent dans l'air, polluent l'eau et s'accumulent par la suite dans la nourriture que nous consommons. Elle souligne la menace qui pèse sur la santé de nombreuses personnes à travers le monde", a fait savoir Lisa Jackson, une des responsables du projet.
Actuellement, la concentration moyenne en mercure dans l'eau océanique s'élève à environ 0,23 nanogrammes par litre. Selon les chercheurs, ce niveau pourrait augmenter de 50% d'ici 2050 si les rejets ne diminuent pas.
"Cette étude permet de mieux comprendre comment des concentrations dangereuses de mercure se retrouvent dans l'air, polluent l'eau et s'accumulent par la suite dans la nourriture que nous consommons. Elle souligne la menace qui pèse sur la santé de nombreuses personnes à travers le monde", a fait savoir Lisa Jackson, une des responsables du projet.