Nicolas Sarkozy
Le chef de l'Etat a indiqué avoir fait au ministre émirati des Affaires étrangères "la condamnation sans appel de la France de ce qui n'est rien d'autre qu'un assassinat, c'est clair, c'est simple et c'est précis".
"Je veux le redire sans aucune ambiguïté, la France condamne toutes les exécutions, ce ne sont pas des méthodes et rien ne peut justifier ces méthodes", a insisté Nicolas Sarkozy.
"Ce genre d'événement ne peut qu'attiser les tensions et n'amène rien de positif. La France est une démocratie et on ne peut pas accepter ça et nous ne l'accepterons pas", a-t-il poursuivi.
Le président français a également rappelé que le chargé d'affaires israélien était allé au ministère français des Affaires étrangères "à propos de l'utilisation d'un faux passeport français dans le cadre de cette affaire", mais n'a pas formellement attribué cet "assassinat" à l'Etat hébreu.
"Il y a une enquête qui est en cours, attendons pour savoir, comme l'a dit le président (Mahmoud Abbas) qui est derrière, y-a-t-il des commanditaires et qui sont-ils?", a-t-il toutefois observé.
"Je veux le redire sans aucune ambiguïté, la France condamne toutes les exécutions, ce ne sont pas des méthodes et rien ne peut justifier ces méthodes", a insisté Nicolas Sarkozy.
"Ce genre d'événement ne peut qu'attiser les tensions et n'amène rien de positif. La France est une démocratie et on ne peut pas accepter ça et nous ne l'accepterons pas", a-t-il poursuivi.
Le président français a également rappelé que le chargé d'affaires israélien était allé au ministère français des Affaires étrangères "à propos de l'utilisation d'un faux passeport français dans le cadre de cette affaire", mais n'a pas formellement attribué cet "assassinat" à l'Etat hébreu.
"Il y a une enquête qui est en cours, attendons pour savoir, comme l'a dit le président (Mahmoud Abbas) qui est derrière, y-a-t-il des commanditaires et qui sont-ils?", a-t-il toutefois observé.