Falikou Coulibaly, chef de l'association des Ivoiriens de Tunisie, a été tué dimanche soir à Tunis lorsque deux hommes ont tenté de lui voler son téléphone portable selon les autorités tunisiennes.
"Au niveau de l’Ambassade, nous avons d'abord informé Abidjan de la situation. Ensuite, nous avons saisi le ministère des Affaires étrangères tunisien pour protester contre cette énième agression d’un Ivoirien en Tunisie", a indiqué Felicia Kouassi dans une déclaration relayée par la télévision d'Etat.
Elle a, en outre, précisé que les formalités pour le transfert du corps en Côte d’Ivoire étaient en cours.
Felicia Kouassi a également dénoncé l’agression, récemment, de deux autres Ivoiriens dans le même quartier où Coulibaly a été tué.
"La communauté ivoirienne a déjà été victime d'agressions, et on a informé, en son temps, les autorités ivoiriennes qui ont réagi. (…) avant monsieur Coulibaly, il y a eu deux autres agressions d’Ivoiriens à l’arme blanche dans ce quartier.", a-t-elle rappelé.
Plusieurs manifestations ont été organisées lundi et mardi à Tunis par la communauté ivoirienne vivant en Tunisie et des étudiants d'Afrique subsaharienne pour dénoncer le meurtre de Coulibaly et les comportements "racistes de certains Tunisiens".
La communauté tunisienne vivant en Côte d'Ivoire a, également, dénoncé ce "crime odieux".
L'Association des Tunisiens en Côte d’Ivoire (Atunci) a indiqué dans un communiqué relayé par radio France Internationale (RFI), qu'elle suivait avec attention l’enquête menée par les autorité tunisiennes afin de faire toute la lumière sur les motifs de ce meurtre.
"Les Tunisiens aussi sont des Africains, donc il est de notre devoir d'être solidaires avec nos frères subsahariens et de prôner une culture de tolérance et d'ouverture", rappelle l'Atunci dans le communiqué.
"Au niveau de l’Ambassade, nous avons d'abord informé Abidjan de la situation. Ensuite, nous avons saisi le ministère des Affaires étrangères tunisien pour protester contre cette énième agression d’un Ivoirien en Tunisie", a indiqué Felicia Kouassi dans une déclaration relayée par la télévision d'Etat.
Elle a, en outre, précisé que les formalités pour le transfert du corps en Côte d’Ivoire étaient en cours.
Felicia Kouassi a également dénoncé l’agression, récemment, de deux autres Ivoiriens dans le même quartier où Coulibaly a été tué.
"La communauté ivoirienne a déjà été victime d'agressions, et on a informé, en son temps, les autorités ivoiriennes qui ont réagi. (…) avant monsieur Coulibaly, il y a eu deux autres agressions d’Ivoiriens à l’arme blanche dans ce quartier.", a-t-elle rappelé.
Plusieurs manifestations ont été organisées lundi et mardi à Tunis par la communauté ivoirienne vivant en Tunisie et des étudiants d'Afrique subsaharienne pour dénoncer le meurtre de Coulibaly et les comportements "racistes de certains Tunisiens".
La communauté tunisienne vivant en Côte d'Ivoire a, également, dénoncé ce "crime odieux".
L'Association des Tunisiens en Côte d’Ivoire (Atunci) a indiqué dans un communiqué relayé par radio France Internationale (RFI), qu'elle suivait avec attention l’enquête menée par les autorité tunisiennes afin de faire toute la lumière sur les motifs de ce meurtre.
"Les Tunisiens aussi sont des Africains, donc il est de notre devoir d'être solidaires avec nos frères subsahariens et de prôner une culture de tolérance et d'ouverture", rappelle l'Atunci dans le communiqué.