Le titre s’adjugeait 4% dans les échanges d’après-Bourse à Wall Street, après avoir fini la séance régulière en repli de 0,68%.
Le groupe de Redmond a fait état d’un bénéfice net de 8,87 milliards de dollars (7,62 milliards d’euros) pour son quatrième trimestre clos fin juin, soit 1,14 dollar par action, contre 8,07 milliards de dollars (1,03 dollar/action) un an plus tôt.
Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action a atteint 1,13 dollar, cinq cents de plus que le consensus établi par Thomson Reuters I/B/E/S.
Le chiffre d’affaires a progressé de 17,5% à 30,09 milliards de dollars, dépassant lui aussi le consensus qui était à 29,21 milliards. Sur l’ensemble de l’exercice, il a augmenté de 14% à 110,4 milliards de dollars.
Azure, le produit phare du groupe, a vu ses ventes bondir de 89% au quatrième trimestre, permettant à la division de produits pour serveurs et de services d’informatique dématérialisée (“cloud”) d’augmenter son chiffre d’affaires de 26%.
La croissance récente de Microsoft a été largement alimentée par le cloud, où les entreprises sont nombreuses à transférer des données pour réduire leurs coûts de stockage et de logiciels.
“La conjonction du cloud, une tendance lourde appelée à durer des années encore, et du savoir-faire dans l’exécution fait toute la force de Microsoft, qui sait comment vendre et innover”, commente Tom Taulli, analyste chez InvestorPlace.com.
L’action de l’inventeur de Windows a bondi de 180% depuis que Satya Nadella en a pris les commandes en 2014, recentrant le groupe sur l’informatique dématérialisée plutôt que sur les logiciels pour PC. Sa capitalisation a dépassé ce mois-ci les 800 milliards de dollars pour la première fois.
Azure occupe 16% du marché total des infrastructures cloud, ce qui en fait le deuxième fournisseur de services dématérialisés après Amazon Web Services, la filiale d’Amazon.com, selon la firme de recherche Canalys.
La division de productivité et de logiciels pour entreprises, qui comprend Office 365, a quant à elle augmenté son chiffre d’affaires de 13,1% à 9,67 milliards de dollars au quatrième trimestre.
La hausse a atteint 37% pour LinkedIn et les réseaux sociaux professionnels et 61% pour la suite d’applications en ligne Dynamics 365.
Microsoft s’affirme ainsi comme un concurrent redoutable pour Salesforce.com, qui domine le marché de la gestion de la relation client, note Johnny Won, fondateur de la firme de conseil Hyperstop spécialisée dans les hautes technologies.
Le groupe de Redmond a fait état d’un bénéfice net de 8,87 milliards de dollars (7,62 milliards d’euros) pour son quatrième trimestre clos fin juin, soit 1,14 dollar par action, contre 8,07 milliards de dollars (1,03 dollar/action) un an plus tôt.
Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action a atteint 1,13 dollar, cinq cents de plus que le consensus établi par Thomson Reuters I/B/E/S.
Le chiffre d’affaires a progressé de 17,5% à 30,09 milliards de dollars, dépassant lui aussi le consensus qui était à 29,21 milliards. Sur l’ensemble de l’exercice, il a augmenté de 14% à 110,4 milliards de dollars.
Azure, le produit phare du groupe, a vu ses ventes bondir de 89% au quatrième trimestre, permettant à la division de produits pour serveurs et de services d’informatique dématérialisée (“cloud”) d’augmenter son chiffre d’affaires de 26%.
La croissance récente de Microsoft a été largement alimentée par le cloud, où les entreprises sont nombreuses à transférer des données pour réduire leurs coûts de stockage et de logiciels.
“La conjonction du cloud, une tendance lourde appelée à durer des années encore, et du savoir-faire dans l’exécution fait toute la force de Microsoft, qui sait comment vendre et innover”, commente Tom Taulli, analyste chez InvestorPlace.com.
L’action de l’inventeur de Windows a bondi de 180% depuis que Satya Nadella en a pris les commandes en 2014, recentrant le groupe sur l’informatique dématérialisée plutôt que sur les logiciels pour PC. Sa capitalisation a dépassé ce mois-ci les 800 milliards de dollars pour la première fois.
Azure occupe 16% du marché total des infrastructures cloud, ce qui en fait le deuxième fournisseur de services dématérialisés après Amazon Web Services, la filiale d’Amazon.com, selon la firme de recherche Canalys.
La division de productivité et de logiciels pour entreprises, qui comprend Office 365, a quant à elle augmenté son chiffre d’affaires de 13,1% à 9,67 milliards de dollars au quatrième trimestre.
La hausse a atteint 37% pour LinkedIn et les réseaux sociaux professionnels et 61% pour la suite d’applications en ligne Dynamics 365.
Microsoft s’affirme ainsi comme un concurrent redoutable pour Salesforce.com, qui domine le marché de la gestion de la relation client, note Johnny Won, fondateur de la firme de conseil Hyperstop spécialisée dans les hautes technologies.