Omar Dahbi
La question : Que veut dire être journaliste marocain aujourd'hui ?
Omar Dahbi : Être journaliste marocain aujourd’hui, c’est être journaliste dans un pays en mouvement. Un pays qui connaît une transition démocratique, avec des hauts et des bas ; qui subit une mutation sociale, avec des avancées et des régressions ; qui vit une révolution économique avec des progressions et des glissements.
Tout cela constitue une multitude de chantiers ouverts qui méritent un suivi médiatique permanent. Un suivi qui met la lumière sur ce qui avance et alerte sur ce qui régresse. Une sorte de veille médiatique qui informe le citoyen sur l’évolution que connaît son pays, qui lui en explique les enjeux, qui met en perspective les actions entreprises et les chantiers ouverts, etc. Être journaliste marocain aujourd’hui, c’est accompagner toutes les mutations de son pays en mettant en valeur les réalisations, en avisant sur les risques de dérapages et en étant, aussi, indulgent, quand il le faut avec les petites erreurs de parcours qui peuvent résulter de la volonté d’aller parfois trop vite.
Etre journaliste, c’est être patriote, d’abord. La mission du journaliste qui est d’informer, d’expliquer et d’alerter, devrait s’inscrire dans le cadre de cet amour pour la patrie et de la volonté de servir ses intérêts. Le Maroc est un pays qui avance à pas de géant pour rattraper cinq décennies de retard dans plusieurs domaines et il a la capacité de le faire car il dispose d’un potentiel humain riche de douze siècles de force et de présence. Ses journalistes ont la responsabilité de promouvoir ce sentiment de fierté et de confiance en soi afin d’aider à la création d’un climat propice à l’enthousiasme et à la réalisation de l’ambition collective. Ses journalistes ont aussi l’obligation de dénoncer tout ce qui est de nature à porter préjudice à l’existence de ce sentiment patriotique fédérateur. Telle est la mission du journaliste marocain aujourd’hui.
Tout cela constitue une multitude de chantiers ouverts qui méritent un suivi médiatique permanent. Un suivi qui met la lumière sur ce qui avance et alerte sur ce qui régresse. Une sorte de veille médiatique qui informe le citoyen sur l’évolution que connaît son pays, qui lui en explique les enjeux, qui met en perspective les actions entreprises et les chantiers ouverts, etc. Être journaliste marocain aujourd’hui, c’est accompagner toutes les mutations de son pays en mettant en valeur les réalisations, en avisant sur les risques de dérapages et en étant, aussi, indulgent, quand il le faut avec les petites erreurs de parcours qui peuvent résulter de la volonté d’aller parfois trop vite.
Etre journaliste, c’est être patriote, d’abord. La mission du journaliste qui est d’informer, d’expliquer et d’alerter, devrait s’inscrire dans le cadre de cet amour pour la patrie et de la volonté de servir ses intérêts. Le Maroc est un pays qui avance à pas de géant pour rattraper cinq décennies de retard dans plusieurs domaines et il a la capacité de le faire car il dispose d’un potentiel humain riche de douze siècles de force et de présence. Ses journalistes ont la responsabilité de promouvoir ce sentiment de fierté et de confiance en soi afin d’aider à la création d’un climat propice à l’enthousiasme et à la réalisation de l’ambition collective. Ses journalistes ont aussi l’obligation de dénoncer tout ce qui est de nature à porter préjudice à l’existence de ce sentiment patriotique fédérateur. Telle est la mission du journaliste marocain aujourd’hui.