Quels que soient les griefs qui pourraient être reprochés à ma consœur et amie ,une personne dont le professionnalisme est à mesurer à l'aune de sa respectabilité et de sa gentillesse, il est inadmissible qu'un individu, qui plus est membre du comité électoral du candidat Abdelaziz Bouteflika, s'en soit pris à elle. Je me joints à elle pour exiger que des sanctions immédiates soient prises afin qu'elle soit rétablie dans sa dignité et son intégrité. Il est du devoir des pouvoirs publics algériens d'agir afin de mettre un terme à l'arbitraire et aux excès de zèle imbécile d'obscurs apparatchiks qui en fait ne sont que de vils serviteurs.
Je félicite Samia d'avoir eu le courage de déposer cette plainte à laquelle la justice française saura en toute liberté donner les suites prévues par la loi. Il est temps que la presse algérienne soit reconnue comme un partenaire respectable et respecté. A l'ère des nouvelles technologies de l’information, de la vitesse des communications, du progrès de la technologie et de la possibilité d’être informé en un clic de souris, nous assistons à une régression dangereuse contraire aux aspirations de la société algérienne qui revendique sans équivoque le droit fondamental d’être informée objectivement et sans contrainte.
Les pouvoirs publics ont le devoir de défendre ce droit. En ne le faisant pas, ils se discréditent en laissant la porte ouverte aux rumeurs et aux dérives extrémistes.
Cela n’est pas concevable et doit être dénoncé sans ambigüité.
Je félicite Samia d'avoir eu le courage de déposer cette plainte à laquelle la justice française saura en toute liberté donner les suites prévues par la loi. Il est temps que la presse algérienne soit reconnue comme un partenaire respectable et respecté. A l'ère des nouvelles technologies de l’information, de la vitesse des communications, du progrès de la technologie et de la possibilité d’être informé en un clic de souris, nous assistons à une régression dangereuse contraire aux aspirations de la société algérienne qui revendique sans équivoque le droit fondamental d’être informée objectivement et sans contrainte.
Les pouvoirs publics ont le devoir de défendre ce droit. En ne le faisant pas, ils se discréditent en laissant la porte ouverte aux rumeurs et aux dérives extrémistes.
Cela n’est pas concevable et doit être dénoncé sans ambigüité.