Nadine Morano
"On est confrontés à un violeur récidiviste", a souligné Mme Morano, interrogée sur France 2.
"Même s'il y a moins de 2% de récidive en la matière, il faut trouver la meilleure façon d'accompagner à sa sortie le détenu et en la matière, la réflexion sur la castration chimique est indispensable", a-t-elle poursuivi.
"Nous devons avoir ce débat parce que pour l'instant, c'est sur la base du volontariat", a estimé Mme Morano, jugeant nécessaire d'"imposer des mesures drastiques".
Condamné en 2002 à 11 ans de prison pour le viol et l'enlèvement d'une adolescente, l'homme qui a avoué avoir étranglé Marie-Christine Hodeau, retrouvée morte dans une forêt de l'Essonne, avait bénéficié d'une libération conditionnelle en mars 2007. Il avait fini de purger sa peine en novembre 2008 et n'était plus soumis à aucune mesure de contrôle judiciaire.
"Même s'il y a moins de 2% de récidive en la matière, il faut trouver la meilleure façon d'accompagner à sa sortie le détenu et en la matière, la réflexion sur la castration chimique est indispensable", a-t-elle poursuivi.
"Nous devons avoir ce débat parce que pour l'instant, c'est sur la base du volontariat", a estimé Mme Morano, jugeant nécessaire d'"imposer des mesures drastiques".
Condamné en 2002 à 11 ans de prison pour le viol et l'enlèvement d'une adolescente, l'homme qui a avoué avoir étranglé Marie-Christine Hodeau, retrouvée morte dans une forêt de l'Essonne, avait bénéficié d'une libération conditionnelle en mars 2007. Il avait fini de purger sa peine en novembre 2008 et n'était plus soumis à aucune mesure de contrôle judiciaire.