Georges Floyd, un afro-américain de 46 ans, est mort il y a deux jours lors de son interpellation par des policiers "blancs" à Minneapolis aux États-Unis.
Des vidéos qui montrent la scène d’un policier appuyant avec son genou sur le cou de Floyd, l’étouffant jusqu’à sa mort, sont devenues virales sur les réseaux sociaux, provoquant indignations et colères dans le monde entier. Une nouvelle bavure policière qui a poussé le maire de Minneapolis, Jacob Frey à prendre la parole, alors que des protestations violentes éclatent depuis deux jours dans sa ville.
Dans une première déclaration, le maire avait présenté ses excuses "aux citoyens noirs de la ville".
"Être noir ne signifie pas que vous devez mourir. Nous avons visionné les images de 5 minutes qui montrent un policier blanc étouffer un noir. Pendant 5 minutes ! Ce policer était démuni du plus basique des sentiments humains", avait-il dit.
Frey avait également qualifié "de bonne décision" l’exclusion du policier avant même l’ouverture d’une enquête. Le maire demande que le policier impliqué soit condamné.
- "Je n’arrive pas à respirer"
[Vidéo] Georges #Floyd, un afro-américain de 46 ans, est mort il y a deux jours lors de son interpellation par des #policiers "blancs" à #Minneapolis aux États-Unis.https://t.co/NpqBOUOy2s pic.twitter.com/qLTW5SuZaO
— ANADOLU AGENCY (FR) (@aa_french) May 28, 2020
Les images filmées par les téléphones portables de piétons à proximité des faits, ont profondément touché tous ceux qui les ont visionnées.
Les appels à la détresse de Georges Floyd, symbolisés par les "je n’arrive pas à respirer", ont relancé les débats aux États-Unis autour de la violence policière.
Depuis, des protestations ont lieu à Minneapolis, notamment à l’endroit des faits. Certains commerces ont été vandalisés et des voitures de police endommagées. Des heurts entre policiers et manifestants ont vu le jour.
Le président américain, Donald Trump a demandé au FBI et au ministère de la Justice de diligenter des enquêtes sur la mort de Floyd.
Les quatre policiers impliqués ont été limogés. Des enquêtes sont en cours.
* Traduit du turc par Tuncay Çakmak
Des vidéos qui montrent la scène d’un policier appuyant avec son genou sur le cou de Floyd, l’étouffant jusqu’à sa mort, sont devenues virales sur les réseaux sociaux, provoquant indignations et colères dans le monde entier. Une nouvelle bavure policière qui a poussé le maire de Minneapolis, Jacob Frey à prendre la parole, alors que des protestations violentes éclatent depuis deux jours dans sa ville.
Dans une première déclaration, le maire avait présenté ses excuses "aux citoyens noirs de la ville".
"Être noir ne signifie pas que vous devez mourir. Nous avons visionné les images de 5 minutes qui montrent un policier blanc étouffer un noir. Pendant 5 minutes ! Ce policer était démuni du plus basique des sentiments humains", avait-il dit.
Frey avait également qualifié "de bonne décision" l’exclusion du policier avant même l’ouverture d’une enquête. Le maire demande que le policier impliqué soit condamné.
- "Je n’arrive pas à respirer"
[Vidéo] Georges #Floyd, un afro-américain de 46 ans, est mort il y a deux jours lors de son interpellation par des #policiers "blancs" à #Minneapolis aux États-Unis.https://t.co/NpqBOUOy2s pic.twitter.com/qLTW5SuZaO
— ANADOLU AGENCY (FR) (@aa_french) May 28, 2020
Les images filmées par les téléphones portables de piétons à proximité des faits, ont profondément touché tous ceux qui les ont visionnées.
Les appels à la détresse de Georges Floyd, symbolisés par les "je n’arrive pas à respirer", ont relancé les débats aux États-Unis autour de la violence policière.
Depuis, des protestations ont lieu à Minneapolis, notamment à l’endroit des faits. Certains commerces ont été vandalisés et des voitures de police endommagées. Des heurts entre policiers et manifestants ont vu le jour.
Le président américain, Donald Trump a demandé au FBI et au ministère de la Justice de diligenter des enquêtes sur la mort de Floyd.
Les quatre policiers impliqués ont été limogés. Des enquêtes sont en cours.
* Traduit du turc par Tuncay Çakmak