"La manière de penser des Américains, le modèle américain sont en parfaite harmonie avec la vision de l'islam', a déclaré à Dubaï l'imam américain Feisal Abdul Rauf.
Le religieux, en tournée dans la région avec le soutien du département d'Etat américain, s'est déjà rendu à Bahreïn et au Qatar avant les Emirats arabes unis.
Lors d'une visite à Abou Dhabi, il avait appelé lundi au rejet de l'extrémisme religieux.
"Il y a une menace commune: le radicalisme qui existe dans toutes les religions", a-t-il déclaré, estimant que "la vraie bataille n'est pas entre musulmans et non musulmans. Elle est entre les modérés et les extrémistes".
Le conseil municipal de New York a approuvé en mai la construction d'un centre islamique, avec un lieu de prière, non loin du site des attentats du 11-Septembre 2001, déclenchant une polémique au niveau national.
Le maire de New York, Michael Bloomberg, soutient l'initiative et le président américain Barack Obama a également apporté son appui.
Mais des proches de victimes des attentats s'opposent à ce projet et ont manifesté. Ceux qui le soutiennent sont également descendus dans la rue à New York.
Un autre promoteur de ce centre, Sharif el-Gamal, a jugé "surréaliste" le niveau d'opposition rencontré par le projet, dans un entretien à la chaîne de télévision américaine CBS.
Il a affirmé qu'il n'aurait jamais imaginé une telle controverse. Parce que "je ne me tiens pas responsable, ni ma foi, de cette tragédie".
Sharif el-Gamal a indiqué qu'il était déterminé à poursuivre le projet, affirmant qu'il souhaitait que le lieu soit "universellement reconnu comme un centre de culture, de coexistence, où les gens se rassemblent".
Le religieux, en tournée dans la région avec le soutien du département d'Etat américain, s'est déjà rendu à Bahreïn et au Qatar avant les Emirats arabes unis.
Lors d'une visite à Abou Dhabi, il avait appelé lundi au rejet de l'extrémisme religieux.
"Il y a une menace commune: le radicalisme qui existe dans toutes les religions", a-t-il déclaré, estimant que "la vraie bataille n'est pas entre musulmans et non musulmans. Elle est entre les modérés et les extrémistes".
Le conseil municipal de New York a approuvé en mai la construction d'un centre islamique, avec un lieu de prière, non loin du site des attentats du 11-Septembre 2001, déclenchant une polémique au niveau national.
Le maire de New York, Michael Bloomberg, soutient l'initiative et le président américain Barack Obama a également apporté son appui.
Mais des proches de victimes des attentats s'opposent à ce projet et ont manifesté. Ceux qui le soutiennent sont également descendus dans la rue à New York.
Un autre promoteur de ce centre, Sharif el-Gamal, a jugé "surréaliste" le niveau d'opposition rencontré par le projet, dans un entretien à la chaîne de télévision américaine CBS.
Il a affirmé qu'il n'aurait jamais imaginé une telle controverse. Parce que "je ne me tiens pas responsable, ni ma foi, de cette tragédie".
Sharif el-Gamal a indiqué qu'il était déterminé à poursuivre le projet, affirmant qu'il souhaitait que le lieu soit "universellement reconnu comme un centre de culture, de coexistence, où les gens se rassemblent".