Si 2009 ne restera pas comme un grand cru pour la franchise aux quatre titres NBA en dix ans, qui n'avait plus été éliminée au premier tour depuis l'an 2000, il s'agit incontestablement du meilleur millésime de "TP" dans la grande Ligue.
"Je pense avoir franchi un nouveau cap, assure-t-il sur son site internet. Avec la blessure de Manu (Ginobili) et les pépins physiques de Tim Duncan, j'ai dû hausser mon niveau de jeu. Je suis satisfait de ma saison mais comme d'habitude, je ne souhaite pas m'arrêter là. J'en veux toujours plus."
"Mon but est de progresser chaque année et de devenir un meilleur joueur de basket. Je ne me fixe aucune limite", assène-t-il aussi.
Forcé de prendre du volume en raison de la cheville fatiguée de l'Argentin Ginobili (seulement 44 matches cette saison, pas de play-offs) et des genoux grinçants de Duncan (33 ans), Parker a assumé.
Il a ainsi fini la saison régulière avec ses meilleures moyennes aux points (22) et à la passe (7) depuis ses débuts en NBA en 2001, à 19 ans.
55 points à Minnesota
Ses perforations de défense sont toujours aussi meurtrières et sa vitesse d'éxécution déconcertante mais sa précision au shoot extérieur est également devenue très fiable, élargissant grandement son champ de compétences.
En 2008-2009, Parker a joué son troisième All star game, passé le cap des 10.000 points marqués en saison régulière, été deux fois désigné joueur de la semaine dans la Conférence Ouest, mais son morceau d'héroïsme restera ce 6 novembre à Minnesota (55 points, 10 passes, 7 rebonds), où il a pris littéralement feu dans une victoire en double prolongation (129-125).
Il est ce jour-là devenu le troisième joueur en NBA à cumuler au moins 55 points et 10 passes, aux côtés des "monuments" Oscar Robertson (en 1964-65) et Michael Jordan (en 1992-93).
Le triple champion NBA (2003, 2005, 2007), sacré MVP de la finale 2007, a en plus intensifié l'effort en play-offs. Sans succès toutefois pour San Antonio, devenu tellement dépendant de lui et Duncan que les autres (Bonner, Mason, Hill, Finley...) en ont fini par perdre leur basket et les regarder jouer.
Deuxième meilleur marqueur en play-offs
Mardi, quand sa saison s'est terminée sur une défaite à domicile contre Dallas, "TP" était le deuxième meilleur marqueur en play-offs (28,6 pts de moyenne), derrière Sa Majesté LeBron James (32 pts), avec 55% de réussite (9e rang). Il était également sixième meilleur passeur (6,8).
Une pointe à 43 (match N.4) lui a en outre permis de battre son record de points marqués dans un match de phases finales.
Avec 31 points à la mi-temps de cette rencontre, Parker a égalé le record des Spurs pour le plus de points marqués à la pause dans un match de play-offs, jusqu'alors la seule propriété de George Gervin.
Cet été, il sera attendu comme un faiseur de miracles par l'équipe de France, qui convoite la dernière place qualificative à l'Euro-2009.
"Je vais arriver au rassemblement des Bleus mi-juillet en pleine forme, je vais être frais, souligne le N.9 des Spurs. Mais avant, je vais complètement couper, me vider la tête et penser à autre chose qu'au basket."
"Je pense avoir franchi un nouveau cap, assure-t-il sur son site internet. Avec la blessure de Manu (Ginobili) et les pépins physiques de Tim Duncan, j'ai dû hausser mon niveau de jeu. Je suis satisfait de ma saison mais comme d'habitude, je ne souhaite pas m'arrêter là. J'en veux toujours plus."
"Mon but est de progresser chaque année et de devenir un meilleur joueur de basket. Je ne me fixe aucune limite", assène-t-il aussi.
Forcé de prendre du volume en raison de la cheville fatiguée de l'Argentin Ginobili (seulement 44 matches cette saison, pas de play-offs) et des genoux grinçants de Duncan (33 ans), Parker a assumé.
Il a ainsi fini la saison régulière avec ses meilleures moyennes aux points (22) et à la passe (7) depuis ses débuts en NBA en 2001, à 19 ans.
55 points à Minnesota
Ses perforations de défense sont toujours aussi meurtrières et sa vitesse d'éxécution déconcertante mais sa précision au shoot extérieur est également devenue très fiable, élargissant grandement son champ de compétences.
En 2008-2009, Parker a joué son troisième All star game, passé le cap des 10.000 points marqués en saison régulière, été deux fois désigné joueur de la semaine dans la Conférence Ouest, mais son morceau d'héroïsme restera ce 6 novembre à Minnesota (55 points, 10 passes, 7 rebonds), où il a pris littéralement feu dans une victoire en double prolongation (129-125).
Il est ce jour-là devenu le troisième joueur en NBA à cumuler au moins 55 points et 10 passes, aux côtés des "monuments" Oscar Robertson (en 1964-65) et Michael Jordan (en 1992-93).
Le triple champion NBA (2003, 2005, 2007), sacré MVP de la finale 2007, a en plus intensifié l'effort en play-offs. Sans succès toutefois pour San Antonio, devenu tellement dépendant de lui et Duncan que les autres (Bonner, Mason, Hill, Finley...) en ont fini par perdre leur basket et les regarder jouer.
Deuxième meilleur marqueur en play-offs
Mardi, quand sa saison s'est terminée sur une défaite à domicile contre Dallas, "TP" était le deuxième meilleur marqueur en play-offs (28,6 pts de moyenne), derrière Sa Majesté LeBron James (32 pts), avec 55% de réussite (9e rang). Il était également sixième meilleur passeur (6,8).
Une pointe à 43 (match N.4) lui a en outre permis de battre son record de points marqués dans un match de phases finales.
Avec 31 points à la mi-temps de cette rencontre, Parker a égalé le record des Spurs pour le plus de points marqués à la pause dans un match de play-offs, jusqu'alors la seule propriété de George Gervin.
Cet été, il sera attendu comme un faiseur de miracles par l'équipe de France, qui convoite la dernière place qualificative à l'Euro-2009.
"Je vais arriver au rassemblement des Bleus mi-juillet en pleine forme, je vais être frais, souligne le N.9 des Spurs. Mais avant, je vais complètement couper, me vider la tête et penser à autre chose qu'au basket."