Selon la Société audiovisuelle publique israélienne, les enquêteurs de la police israélienne sont arrivés à la maison du Premier ministre, où un interrogatoire est actuellement en cours.
C'est la dixième fois en environ un an que le Chef du gouvernement est auditionné par la police pour des soupçons de corruption, a noté la même source.
L’enquête porterait, selon ce média israélien, sur le "Dossier 4000".
Dans le cadre de cette affaire, Netanyahu est soupçonné d’avoir accordé des privilèges et des faveurs à la société médiatique Bezeq et à son ancien directeur général, Shaul Elovitch, en échange d’une couverture médiatique favorable aux actions du Chef du gouvernement et de sa famille sur le site "Walla" qui appartient à ce dernier.
Les enquêteurs pourraient également aborder le "Dossier 2000". Dans cette affaire, Netayahu est accusé d’avoir contacté le directeur de la publication du journal "Yedioth Ahronoth", Arnon Mozes, pour s’assurer une couverture médiatique favorable en contrepartie de restrictions qui auraient contenu l’expansion du quotidien "Israel Hayom".
La police israélienne a déjà interrogé Netanyahu à la mi-février sur ce dossier ainsi que sur le "Dossier 1000", une autre affaire de corruption impliquant Netanyahu dans des soupçons de pots de vin avec hommes d’affaires.
Le Procureur général israélien, Avichai Mandelblit, n'a toutefois pas encore décidé d'inculper Netanyahu.
C'est la dixième fois en environ un an que le Chef du gouvernement est auditionné par la police pour des soupçons de corruption, a noté la même source.
L’enquête porterait, selon ce média israélien, sur le "Dossier 4000".
Dans le cadre de cette affaire, Netanyahu est soupçonné d’avoir accordé des privilèges et des faveurs à la société médiatique Bezeq et à son ancien directeur général, Shaul Elovitch, en échange d’une couverture médiatique favorable aux actions du Chef du gouvernement et de sa famille sur le site "Walla" qui appartient à ce dernier.
Les enquêteurs pourraient également aborder le "Dossier 2000". Dans cette affaire, Netayahu est accusé d’avoir contacté le directeur de la publication du journal "Yedioth Ahronoth", Arnon Mozes, pour s’assurer une couverture médiatique favorable en contrepartie de restrictions qui auraient contenu l’expansion du quotidien "Israel Hayom".
La police israélienne a déjà interrogé Netanyahu à la mi-février sur ce dossier ainsi que sur le "Dossier 1000", une autre affaire de corruption impliquant Netanyahu dans des soupçons de pots de vin avec hommes d’affaires.
Le Procureur général israélien, Avichai Mandelblit, n'a toutefois pas encore décidé d'inculper Netanyahu.