Dans la ville de Hilla, à 95 km au sud de Bagdad, deux bombes ont explosé au passage d'un groupe de pèlerins chiites, tuant 26 personnes et en blessant 85, ont indiqué la police et un médecin.
Parmi les 26 morts figurent deux femmes, trois enfants, deux médecins et un membre de la défense civile, ont-ils précisé.
Les forces de sécurité ont interdit l'accès au site de l'attentat et établi des barrages à travers la ville afin de fouiller les voitures, a rapporté un journaliste de l'AFP, ajoutant que les magasins environnants avaient fermé leurs portes.
Un peu plus au sud, dans la ville sainte chiite de Kerbala, une voiture piégée a explosé sous un pont tuant cinq personnes et blessant 13 autres, selon un responsable de la police et un médecin.
Un porte-parole de la police a indiqué que les forces de sécurité avaient fermé toutes les routes menant à la vieille ville --où est enterré l'imam Hussein, l'une des figures les plus vénérées du chiisme-- et étaient à la recherche d'une seconde voiture piégée.
Il s'agit de la deuxième série d'attaques visant les chiites depuis le début de la semaine. Mardi, au moins 12 personnes avaient péri et 50 avaient été blessées dans trois attentats à la voiture piégée près de lieux de culte chiites à Bagdad.
Ces attentats remettent une fois de plus en question la capacité des forces de sécurité irakiennes à assurer la stabilité du pays, qui se remet à peine d'un sanglant conflit interconfessionnel.
Les attaques n'ont pas été revendiquées, mais les combattants sunnites de l'Etat islamique en Irak (ISI), branche d'Al-Qaïda dans le pays, tentent fréquemment de déstabiliser le gouvernement du chiite Nouri al-Maliki par le biais d'attentats sanglants. La communauté chiite est majoritaire en Irak.
Chaque année, des millions de chiites convergent à Kerbala pour les célébrations de l'Achoura commémorant le martyre de l'imam Hussein -petit-fils du prophète Mahomet, tué en 680 à Kerbala--, qui ont culminé le 25 novembre. Les pèlerins continuent de se rendre ensuite vers Kerbala lors des 40 jours de deuil suivant l'Achoura.
Les violences restent quasi-quotidiennes en Irak même si elles ont considérablement diminué depuis le conflit confessionnel de 2006-2008.
Les Etats-Unis avaient retiré en décembre 2011 leurs dernières troupes d'Irak après une présence de près de neuf ans, n'ayant pas réussi à obtenir le feu vert de Bagdad pour le maintien d'un contingent limité après fin 2011. Ils avaient envahi le pays en 2003 et renversé le président Saddam Hussein.
Parmi les 26 morts figurent deux femmes, trois enfants, deux médecins et un membre de la défense civile, ont-ils précisé.
Les forces de sécurité ont interdit l'accès au site de l'attentat et établi des barrages à travers la ville afin de fouiller les voitures, a rapporté un journaliste de l'AFP, ajoutant que les magasins environnants avaient fermé leurs portes.
Un peu plus au sud, dans la ville sainte chiite de Kerbala, une voiture piégée a explosé sous un pont tuant cinq personnes et blessant 13 autres, selon un responsable de la police et un médecin.
Un porte-parole de la police a indiqué que les forces de sécurité avaient fermé toutes les routes menant à la vieille ville --où est enterré l'imam Hussein, l'une des figures les plus vénérées du chiisme-- et étaient à la recherche d'une seconde voiture piégée.
Il s'agit de la deuxième série d'attaques visant les chiites depuis le début de la semaine. Mardi, au moins 12 personnes avaient péri et 50 avaient été blessées dans trois attentats à la voiture piégée près de lieux de culte chiites à Bagdad.
Ces attentats remettent une fois de plus en question la capacité des forces de sécurité irakiennes à assurer la stabilité du pays, qui se remet à peine d'un sanglant conflit interconfessionnel.
Les attaques n'ont pas été revendiquées, mais les combattants sunnites de l'Etat islamique en Irak (ISI), branche d'Al-Qaïda dans le pays, tentent fréquemment de déstabiliser le gouvernement du chiite Nouri al-Maliki par le biais d'attentats sanglants. La communauté chiite est majoritaire en Irak.
Chaque année, des millions de chiites convergent à Kerbala pour les célébrations de l'Achoura commémorant le martyre de l'imam Hussein -petit-fils du prophète Mahomet, tué en 680 à Kerbala--, qui ont culminé le 25 novembre. Les pèlerins continuent de se rendre ensuite vers Kerbala lors des 40 jours de deuil suivant l'Achoura.
Les violences restent quasi-quotidiennes en Irak même si elles ont considérablement diminué depuis le conflit confessionnel de 2006-2008.
Les Etats-Unis avaient retiré en décembre 2011 leurs dernières troupes d'Irak après une présence de près de neuf ans, n'ayant pas réussi à obtenir le feu vert de Bagdad pour le maintien d'un contingent limité après fin 2011. Ils avaient envahi le pays en 2003 et renversé le président Saddam Hussein.