"Si nous parvenons à un accord de paix avec les Palestiniens, je souhaiterais le soumettre à un référendum", a affirmé M. Netanyahu, lors d'une rencontre avec le ministre suisse des Affaires étrangères Didier Burkhalter, selon un communiqué de ses services.
M. Netanyahu a fait cette déclaration au moment où les Etats-Unis tentent d'encourager une relance des négociations entre Israël et les Palestiniens gelées depuis l'automne 2010.
En septembre 2010, il s'était déjà déclaré favorable à un référendum sur tout accord conclu avec les Palestiniens.
Les commentateurs avaient estimé à l'époque que le Premier ministre tentait ainsi de neutraliser les "durs" de sa coalition, opposés à toute concession territoriale en Cisjordanie occupée, en laissant la décision finale aux électeurs.
En novembre 2010, le Parlement israélien a adopté une proposition de loi imposant pour la première fois la validation par référendum de tout retrait des territoires sur lesquels s'exerce la loi israélienne, dont le plateau syrien du Golan et Jérusalem-Est, occupés et annexés par Israël, avant la ratification d'éventuels traités de paix respectivement avec la Syrie et les Palestiniens.
Cette loi prévoit toutefois une dispense de consultation populaire si une majorité qualifiée des deux tiers des députés (80 sur 120) se prononce pour un retrait.
M. Netanyahu a fait cette déclaration au moment où les Etats-Unis tentent d'encourager une relance des négociations entre Israël et les Palestiniens gelées depuis l'automne 2010.
En septembre 2010, il s'était déjà déclaré favorable à un référendum sur tout accord conclu avec les Palestiniens.
Les commentateurs avaient estimé à l'époque que le Premier ministre tentait ainsi de neutraliser les "durs" de sa coalition, opposés à toute concession territoriale en Cisjordanie occupée, en laissant la décision finale aux électeurs.
En novembre 2010, le Parlement israélien a adopté une proposition de loi imposant pour la première fois la validation par référendum de tout retrait des territoires sur lesquels s'exerce la loi israélienne, dont le plateau syrien du Golan et Jérusalem-Est, occupés et annexés par Israël, avant la ratification d'éventuels traités de paix respectivement avec la Syrie et les Palestiniens.
Cette loi prévoit toutefois une dispense de consultation populaire si une majorité qualifiée des deux tiers des députés (80 sur 120) se prononce pour un retrait.