
Nicolas Sarkozy
"C'est un président qui assume ses fonctions avec la distance qui est nécessaire face à un tourbillon de polémiques", a ajouté la secrétaire d'Etat à la Famille, invitée de LCI.
"Dans ce pays, nous avons la présomption d'innocence et nous sommes passés à un nouveau stade qui est la présomption de culpabilité, et ça n'est pas acceptable", a-t-elle estimé au sujet de l'affaire Woerth-Bettencourt.
Elle a dit assumer le terme de "fasciste" qu'elle avait utilisé pour dénoncer le site Médiapart à l'origine de la publication des enregistrements effectués chez la milliardaire.
"Aujourd'hui, les abonnés de Médiapart qui payent pour aller sur ce site, doivent comprendre qu'ils payent des gens qui utilisent d'abord la calomnie et non pas l'information", a-t-elle martelé.
"Président de la République, c'est une fonction qui mérite d'être sacralisée, qui mérite le respect, encore une fois, mais qui ne peut pas supporter la calomnie, ça n'est pas acceptable. Et donc nous l'avons dénoncé avec force", a-t-elle ajouté.
"Dans ce pays, nous avons la présomption d'innocence et nous sommes passés à un nouveau stade qui est la présomption de culpabilité, et ça n'est pas acceptable", a-t-elle estimé au sujet de l'affaire Woerth-Bettencourt.
Elle a dit assumer le terme de "fasciste" qu'elle avait utilisé pour dénoncer le site Médiapart à l'origine de la publication des enregistrements effectués chez la milliardaire.
"Aujourd'hui, les abonnés de Médiapart qui payent pour aller sur ce site, doivent comprendre qu'ils payent des gens qui utilisent d'abord la calomnie et non pas l'information", a-t-elle martelé.
"Président de la République, c'est une fonction qui mérite d'être sacralisée, qui mérite le respect, encore une fois, mais qui ne peut pas supporter la calomnie, ça n'est pas acceptable. Et donc nous l'avons dénoncé avec force", a-t-elle ajouté.