«Le tribunal a relaxé notre camarade pour faits non constitués. Cela veut dire que les accusations sur la base desquelles Sirajo Issa a été arrêté sont infondées», a indiqué Maikoul Zodi, acteur de la société civile.
Président du Mouvement des jeunes pour l’émergence du Niger (MOJEN), Sirajo Issa a été arrêté le dimanche 27 août dernier, dans le cadre de la polémique sur la célébration de la Tabaski au Niger.
Il avait affirmé, dans un enregistrement sonore, détenir des preuves que le pouvoir a corrompu les autorités religieuses pour fixer la date de cette fête au samedi 2 septembre, au lieu du vendredi 1er septembre correspondant au lendemain de l’ascension du Mont Arafat en Arabie Saoudite.
L’activiste de la société a été jugé vendredi dernier et le parquet du tribunal de Niamey avait requis contre lui une peine de 6 mois de prison ferme.
La décision des autorités religieuses de fixer la date de Tabaski au samedi 2 septembre avait suscité une vive polémique au sein de l’opinion nigérienne qui avait l’habitude de célébrer Tabaski le lendemain de l’ascension du Mont Arafat en Arabie Saoudite, qui correspondait, cette année à la date de vendredi 1er septembre.
Selon des observateurs, la décision de fêter Tabaski samedi serait dictée par une superstition encore ancrée dans le pays, selon laquelle, célébrer des fêtes musulmanes un vendredi serait porteur de malheur pour les dirigeants.
Président du Mouvement des jeunes pour l’émergence du Niger (MOJEN), Sirajo Issa a été arrêté le dimanche 27 août dernier, dans le cadre de la polémique sur la célébration de la Tabaski au Niger.
Il avait affirmé, dans un enregistrement sonore, détenir des preuves que le pouvoir a corrompu les autorités religieuses pour fixer la date de cette fête au samedi 2 septembre, au lieu du vendredi 1er septembre correspondant au lendemain de l’ascension du Mont Arafat en Arabie Saoudite.
L’activiste de la société a été jugé vendredi dernier et le parquet du tribunal de Niamey avait requis contre lui une peine de 6 mois de prison ferme.
La décision des autorités religieuses de fixer la date de Tabaski au samedi 2 septembre avait suscité une vive polémique au sein de l’opinion nigérienne qui avait l’habitude de célébrer Tabaski le lendemain de l’ascension du Mont Arafat en Arabie Saoudite, qui correspondait, cette année à la date de vendredi 1er septembre.
Selon des observateurs, la décision de fêter Tabaski samedi serait dictée par une superstition encore ancrée dans le pays, selon laquelle, célébrer des fêtes musulmanes un vendredi serait porteur de malheur pour les dirigeants.