
"A ce que je sache, les maîtresses ne sont pas interdites en France, ni par l'islam. Peut-être par le christianisme, mais pas en France", a dit le commerçant qui se trouve depuis la semaine dernière dans le collimateur du ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux.
Ce dernier a évoqué la possibilité de le déchoir de sa nationalité française en faisant valoir dans un courrier officiel qu'il "vivrait en situation de polygamie avec quatre femmes dont il aurait eu 12 enfants" et qu'il était soupçonné de fraudes aux aides sociales.
"On n'est pas attaqués judiciairement, on n'a rien à se reprocher", a assuré le mis en cause lundi. "Si on est déchu de sa nationalité pour avoir des maîtresses, il y a beaucoup de Français qui seraient déchus de la nationalité", a-t-il ironisé.
Dimanche, Xavier Ronsin, procureur de la République à Nantes, s'était montré prudent car, concernant la polygamie, "si un homme est marié civilement mais a cinq maîtresses, l'adultère n'est plus puni par la loi".
A la mairie de Rezé, où il habite, aucun acte de mariage n'a été retrouvé dans les registres municipaux, selon un porte-parole de la mairie.
Ce dernier a évoqué la possibilité de le déchoir de sa nationalité française en faisant valoir dans un courrier officiel qu'il "vivrait en situation de polygamie avec quatre femmes dont il aurait eu 12 enfants" et qu'il était soupçonné de fraudes aux aides sociales.
"On n'est pas attaqués judiciairement, on n'a rien à se reprocher", a assuré le mis en cause lundi. "Si on est déchu de sa nationalité pour avoir des maîtresses, il y a beaucoup de Français qui seraient déchus de la nationalité", a-t-il ironisé.
Dimanche, Xavier Ronsin, procureur de la République à Nantes, s'était montré prudent car, concernant la polygamie, "si un homme est marié civilement mais a cinq maîtresses, l'adultère n'est plus puni par la loi".
A la mairie de Rezé, où il habite, aucun acte de mariage n'a été retrouvé dans les registres municipaux, selon un porte-parole de la mairie.