
"Le prix Nobel de la paix n'est pas une voix isolée", estimait un éditorial du Global Times, titré "les guerres idéologiques sans fin contre la Chine".
"Il fait partie d'un concerto lancé par différentes organisations non gouvernementales, des entités économiques et des organisations internationales et orchestré par des pays développés", a indiqué le quotidien en langue anglaise, connu pour ses prises de positions nationalistes.
"Ils espèrent même qu'un jour la Chine s'effondrera sous l'effet de la croisade idéologique occidentale", poursuit le journal.
En dépit des fermes avertissements de la Chine, le Nobel de la paix 2010 a été attribué vendredi dernier à Liu Xiaobo, ancien enseignant condamné pour subversion en décembre 2009 à 11 ans de prison.
Depuis près d'une semaine, la Chine ne décolère pas. Mercredi, elle indiquait que cette distinction ne la pousserait pas à changer son système politique de parti unique.
Mais la presse a été dans l'ensemble silencieuse sur le prix alors que le Département de la propagande a émis des directives interdisant aux journalistes d'évoquer le premier Nobel jamais attribué à un citoyen chinois, un affront pour Pékin.
"Il semble qu'autour de la Terre, la voie occidentale ne peut être que la seule voie et que les gens doivent adopter les attitudes occidentales", poursuit le Global Times.
"De Google qui menace de se retirer de Chine en début d'année, à l'attribution du Prix Nobel de la paix à un criminel chinois, la guerre idéologique contre la Chine est loin d'être terminée", conclut le journal.
"Il fait partie d'un concerto lancé par différentes organisations non gouvernementales, des entités économiques et des organisations internationales et orchestré par des pays développés", a indiqué le quotidien en langue anglaise, connu pour ses prises de positions nationalistes.
"Ils espèrent même qu'un jour la Chine s'effondrera sous l'effet de la croisade idéologique occidentale", poursuit le journal.
En dépit des fermes avertissements de la Chine, le Nobel de la paix 2010 a été attribué vendredi dernier à Liu Xiaobo, ancien enseignant condamné pour subversion en décembre 2009 à 11 ans de prison.
Depuis près d'une semaine, la Chine ne décolère pas. Mercredi, elle indiquait que cette distinction ne la pousserait pas à changer son système politique de parti unique.
Mais la presse a été dans l'ensemble silencieuse sur le prix alors que le Département de la propagande a émis des directives interdisant aux journalistes d'évoquer le premier Nobel jamais attribué à un citoyen chinois, un affront pour Pékin.
"Il semble qu'autour de la Terre, la voie occidentale ne peut être que la seule voie et que les gens doivent adopter les attitudes occidentales", poursuit le Global Times.
"De Google qui menace de se retirer de Chine en début d'année, à l'attribution du Prix Nobel de la paix à un criminel chinois, la guerre idéologique contre la Chine est loin d'être terminée", conclut le journal.