"Un accrochage a opposé (...) un détachement des Forces armées nigériennes (FAN) à un élément d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans la partie nord de l'Aïr. Bilan cô té FAN: un mort, deux blessés", indique un communiqué lu sur la télévision publique.
"Cô té terroristes: trois morts, deux véhicules récupérés et un véhicule détruit", ajoute le ministère.
L'armée nigérienne dit avoir également "récupéré 59 jeunes recrues (d'Aqmi) âgées de 19 à 20 ans", sans préciser leurs identités ni leurs nationalités.
Elle fait état de la saisie d'"un lance-roquettes RPG7, trois fusils AK-47, un fusil mitrailleur ainsi qu'une importante quantité de munitions".
L'armée dit avoir "mis en place un dispositif sécuritaire additionnel" dans la région d'Agadez, capitale du nord du Niger, "pour renforcer celui déjà existant suite à la dégradation de la situation en Libye" voisine.
D'"incessantes patrouilles au sol, couplées à des reconnaissances aériennes", ont été instaurées dans le nord, souligne le communiqué.
Par ailleurs, le 3 septembre, un soldat a été tué et un autre blessé lors d'un accrochage entre une patrouille militaire et des "trafiquants de drogue" dans le Djado (nord-est), indique le ministère.
L'armée affirme avoir tué "trois trafiquants" et saisi "trois véhicules de type Toyota contenant 4.959 kg de résine de cannabis, trois fusils AK-47, un fusil mitrailleur ainsi qu'une importante quantité de munitions".
Aqmi commet des rapts - surtout d'Occidentaux - dans la bande sahélo-saharienne depuis plusieurs années, notamment dans le nord du Niger. La région est également le théâtre de divers trafics.
Les jihadistes retiennent toujours en otages quatre Français enlevés le 16 septembre 2010 à Arlit, site d'extraction d'uranium au nord d'Agadez. Les trois autres personnes kidnappées - une Française, un Togolais et un Malgache - avaient été relâchées en février.
Le ministre français de la Défense Gérard Longuet a confirmé vendredi que les quatre otages étaient "vivants", ajoutant qu'ils étaient "vraisemblablement séparés les uns des autres".
La crise libyenne a aggravé la situation sécuritaire dans le nord du Niger, avec la fuite d'anciens fidèles de Mouammar Kadhafi, notamment des ex-rebelles touareg nigériens et maliens, et la prolifération d'armes, y compris d'armes lourdes, échappées des arsenaux libyens.
"Cô té terroristes: trois morts, deux véhicules récupérés et un véhicule détruit", ajoute le ministère.
L'armée nigérienne dit avoir également "récupéré 59 jeunes recrues (d'Aqmi) âgées de 19 à 20 ans", sans préciser leurs identités ni leurs nationalités.
Elle fait état de la saisie d'"un lance-roquettes RPG7, trois fusils AK-47, un fusil mitrailleur ainsi qu'une importante quantité de munitions".
L'armée dit avoir "mis en place un dispositif sécuritaire additionnel" dans la région d'Agadez, capitale du nord du Niger, "pour renforcer celui déjà existant suite à la dégradation de la situation en Libye" voisine.
D'"incessantes patrouilles au sol, couplées à des reconnaissances aériennes", ont été instaurées dans le nord, souligne le communiqué.
Par ailleurs, le 3 septembre, un soldat a été tué et un autre blessé lors d'un accrochage entre une patrouille militaire et des "trafiquants de drogue" dans le Djado (nord-est), indique le ministère.
L'armée affirme avoir tué "trois trafiquants" et saisi "trois véhicules de type Toyota contenant 4.959 kg de résine de cannabis, trois fusils AK-47, un fusil mitrailleur ainsi qu'une importante quantité de munitions".
Aqmi commet des rapts - surtout d'Occidentaux - dans la bande sahélo-saharienne depuis plusieurs années, notamment dans le nord du Niger. La région est également le théâtre de divers trafics.
Les jihadistes retiennent toujours en otages quatre Français enlevés le 16 septembre 2010 à Arlit, site d'extraction d'uranium au nord d'Agadez. Les trois autres personnes kidnappées - une Française, un Togolais et un Malgache - avaient été relâchées en février.
Le ministre français de la Défense Gérard Longuet a confirmé vendredi que les quatre otages étaient "vivants", ajoutant qu'ils étaient "vraisemblablement séparés les uns des autres".
La crise libyenne a aggravé la situation sécuritaire dans le nord du Niger, avec la fuite d'anciens fidèles de Mouammar Kadhafi, notamment des ex-rebelles touareg nigériens et maliens, et la prolifération d'armes, y compris d'armes lourdes, échappées des arsenaux libyens.