Le montant total de la dette a chuté de 35,5% par rapport à février 2010, à 49,2 milliards d'euros, précise l'organisme dans un communiqué. Par rapport à janvier 2011, le recul est de 7,4%.
Ce chiffre, qui passe sous les 50 milliards pour la première fois depuis septembre 2008, est un indice de la capacité ou non des banques espagnoles à recourir au marché (au lieu de la BCE) pour se financer.
La Bourse de Madrid était d'ailleurs en forte hausse lundi matin, prenant 2,17% à 10H45 (09H45 GMT), dopée par les valeurs bancaires.
La dette n'a cessé de s'alléger depuis août (hormis une légère remontée en décembre) après un début d'été périlleux: en juin et juillet, elle avait atteint des records historiques, soulignant alors la difficulté des banques espagnoles à se financer sur le marché interbancaire.
Désormais les banques espagnoles ne captent plus que 13% du montant total prêté par la BCE dans la zone euro, contre plus de 30% cet été.
L'Espagne, qui peine à sortir de la crise, a été depuis un an régulièrement l'objet de craintes des marchés.
Jeudi, l'agence Moody's a dégradé d'un cran la note souveraine du pays, à "Aa2" avec perspective négative, se disant toujours sceptique sur sa capacité à redresser ses finances et s'inquiétant du coût de la restructuration bancaire.
Ce chiffre, qui passe sous les 50 milliards pour la première fois depuis septembre 2008, est un indice de la capacité ou non des banques espagnoles à recourir au marché (au lieu de la BCE) pour se financer.
La Bourse de Madrid était d'ailleurs en forte hausse lundi matin, prenant 2,17% à 10H45 (09H45 GMT), dopée par les valeurs bancaires.
La dette n'a cessé de s'alléger depuis août (hormis une légère remontée en décembre) après un début d'été périlleux: en juin et juillet, elle avait atteint des records historiques, soulignant alors la difficulté des banques espagnoles à se financer sur le marché interbancaire.
Désormais les banques espagnoles ne captent plus que 13% du montant total prêté par la BCE dans la zone euro, contre plus de 30% cet été.
L'Espagne, qui peine à sortir de la crise, a été depuis un an régulièrement l'objet de craintes des marchés.
Jeudi, l'agence Moody's a dégradé d'un cran la note souveraine du pays, à "Aa2" avec perspective négative, se disant toujours sceptique sur sa capacité à redresser ses finances et s'inquiétant du coût de la restructuration bancaire.