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"Le moment est venu de refaire l'unité de notre famille, qui veut le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la France", a-t-il déclaré à la presse.
Il a proposé aux autres formations de droite - Calédonie Ensemble, Avenir Ensemble et Rassemblement pour la Calédonie - un "rassemblement républicain", basé sur "un accord de gouvernement".
Le député Pierre Frogier souhaite arrêter notamment "une ligne commune et claire sur les sujets politiques majeurs que sont les transferts de compétences, les signes identitaires et la protection de l'emploi local".
Le Congrès de la Nouvelle-Calédonie est sorti morcelé des élections provinciales de dimanche. La droite non-indépendantiste a obtenu 31 sièges sur 54, mais ces élus appartiennent à quatre formations différentes.
Avec 23 élus, les indépendantistes, même divisés, pourraient obtenir la présidence du gouvernement local, si la droite continue à se déchirer.
Vendredi, les trois provinces - Sud, Nord et îles Loyauté - vont élire leurs présidents, ce qui devrait donner une idée des alliances à venir pour l'élection du président du Congrès puis du gouvernement.
Selon le calendrier institutionnel, les élus ont jusqu'au 17 juin pour accomplir toutes ces étapes.
En tête avec 15 élus sur 40, le Rassemblement-UMP revendique la présidence de la province sud, la plus riche qui concentre population et activité économique. M. Frogier souhaite "que la présidence du gouvernement et celle du Congrès soient attribuées en fonction de la représentativité de chacun".
Lundi, le président sortant du gouvernement, Harold Martin (Avenir Ensemble) a proposé un "pacte de stabilité" pour éviter "le désordre institutionnel".
Il a proposé aux autres formations de droite - Calédonie Ensemble, Avenir Ensemble et Rassemblement pour la Calédonie - un "rassemblement républicain", basé sur "un accord de gouvernement".
Le député Pierre Frogier souhaite arrêter notamment "une ligne commune et claire sur les sujets politiques majeurs que sont les transferts de compétences, les signes identitaires et la protection de l'emploi local".
Le Congrès de la Nouvelle-Calédonie est sorti morcelé des élections provinciales de dimanche. La droite non-indépendantiste a obtenu 31 sièges sur 54, mais ces élus appartiennent à quatre formations différentes.
Avec 23 élus, les indépendantistes, même divisés, pourraient obtenir la présidence du gouvernement local, si la droite continue à se déchirer.
Vendredi, les trois provinces - Sud, Nord et îles Loyauté - vont élire leurs présidents, ce qui devrait donner une idée des alliances à venir pour l'élection du président du Congrès puis du gouvernement.
Selon le calendrier institutionnel, les élus ont jusqu'au 17 juin pour accomplir toutes ces étapes.
En tête avec 15 élus sur 40, le Rassemblement-UMP revendique la présidence de la province sud, la plus riche qui concentre population et activité économique. M. Frogier souhaite "que la présidence du gouvernement et celle du Congrès soient attribuées en fonction de la représentativité de chacun".
Lundi, le président sortant du gouvernement, Harold Martin (Avenir Ensemble) a proposé un "pacte de stabilité" pour éviter "le désordre institutionnel".
