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Des défilés sont prévus à Paris, Lyon, Marseille, Quimper, Nice, Le Mans ou encore Angoulême, d'après l'Union nationale lycéenne (UNL) et la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl).
Dans la capitale, le cortège partira vers 14 heures de la place Denfert-Rochereau en direction du ministère de l'Éducation nationale, rue de Grenelle. "Nicolas Sarkozy annonce une large concertation sur la réforme du lycée, mais refuse de revenir sur les suppressions de postes. On va donc continuer à se mobiliser sur la question des moyens", a déclaré mercredi le secrétaire général de l'UNL Antoine Evennou, tout en restant prudent sur l'ampleur des défilés et rassemblements prévus jeudi. "Ça va être plus suivi que jeudi dernier, avec des manifestations plus importantes", a indiqué pour sa part Alix Nicolet, présidente de la Fidl.
"Gouvernement mis en difficulté"
Le 8 janvier dernier, les syndicats avaient appelé à une première journée d'action "de rentrée" après les vacances de Noël. Mais le résultat avait été très faible, avec quelques centaines de personnes dans les villes de province où des manifestations avaient été organisées, et entre 1.000 et 3.000 à Paris, selon les sources, alors que le mouvement n'avait cessé de prendre de l'ampleur en décembre. Après avoir obtenu le report de la réforme des lycées comme l'avait révélé lepoint.fr et la réouverture d'une large concertation via une mission d'experts présidée par le directeur de l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris Richard Descoings, les syndicats lycéens tablent tout de même sur une reprise du mouvement.
D'autant plus que le gel des suppressions de postes - 11.200 en 2008 et 13.500 programmées cette année - est une revendication partagée par toutes les fédérations de l'Éducation, qui appellent à se rassembler dans toute la France samedi et ne comptent pas en rester là. Samedi, en effet, ce sont les enseignants et les parents d'élèves qui défileront, à l'initiative des fédérations de l'Éducation.
Dans la capitale, le cortège partira vers 14 heures de la place Denfert-Rochereau en direction du ministère de l'Éducation nationale, rue de Grenelle. "Nicolas Sarkozy annonce une large concertation sur la réforme du lycée, mais refuse de revenir sur les suppressions de postes. On va donc continuer à se mobiliser sur la question des moyens", a déclaré mercredi le secrétaire général de l'UNL Antoine Evennou, tout en restant prudent sur l'ampleur des défilés et rassemblements prévus jeudi. "Ça va être plus suivi que jeudi dernier, avec des manifestations plus importantes", a indiqué pour sa part Alix Nicolet, présidente de la Fidl.
"Gouvernement mis en difficulté"
Le 8 janvier dernier, les syndicats avaient appelé à une première journée d'action "de rentrée" après les vacances de Noël. Mais le résultat avait été très faible, avec quelques centaines de personnes dans les villes de province où des manifestations avaient été organisées, et entre 1.000 et 3.000 à Paris, selon les sources, alors que le mouvement n'avait cessé de prendre de l'ampleur en décembre. Après avoir obtenu le report de la réforme des lycées comme l'avait révélé lepoint.fr et la réouverture d'une large concertation via une mission d'experts présidée par le directeur de l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris Richard Descoings, les syndicats lycéens tablent tout de même sur une reprise du mouvement.
D'autant plus que le gel des suppressions de postes - 11.200 en 2008 et 13.500 programmées cette année - est une revendication partagée par toutes les fédérations de l'Éducation, qui appellent à se rassembler dans toute la France samedi et ne comptent pas en rester là. Samedi, en effet, ce sont les enseignants et les parents d'élèves qui défileront, à l'initiative des fédérations de l'Éducation.
