Quelque 40.000 personnes ont répondu présent sur Facebook pour ce rassemblement sur la perspective Sakharov, au centre de Moscou, mais certains des organisateurs - partis politiques, associations, ONG et célébrités des arts et des médias- rêvent de faire venir beaucoup plus de manifestants.
"Il est très important de réaffirmer notre dignité retrouvée", ont écrit dans une lettre ouverte plus de 150 acteurs, réalisateurs et journalistes qui vont participer à la manifestation.
Selon une étude de la société d'études de marché Comcon, il pourrait y avoir plus de 100.000 protestataires samedi dans le centre de la capitale russe.
La précédente manifestation le 10 décembre, six jours après les législatives controversées remportées par le parti au pouvoir Russie Unie avec près de 50% des suffrages, avait attiré entre 50.000 et 80.000 personnes.
Et des milliers d'autres manifestants s'étaient réunis dans des dizaines de villes de Russie, comme Saint-Pétersbourg ou Ekaterinbourg (Oural).
L'ancien président soviétique et prix Nobel de la Paix, Mikhaïl Gorbatchev, 80 ans, qui a apporté son soutien à la contestation, a indiqué qu'il se joindra à la foule si sa santé le lui permet.
Ce mouvement de contestation est le plus important en Russie depuis l'arrivée au pouvoir en 2000 de M. Poutine. Et cette mobilisation intervient au moment où ce dernier veut se faire réélire en mars à la présidence, qu'il avait dû abandonner en 2008 à Dmitri Medvedev faute de pouvoir enchaîner plus de deux mandats consécutifs.
L'ex-agent du KGB, qui a vu sa popularité plonger ces derniers mois, s'est moqué de ses détracteurs, dans une émission télévisée de plus de quatre heures la semaine dernière. Il a aussi accusé l'opposition d'être à la solde de l'Occident.
Signe que le pouvoir juge la situation sérieuse, M. Poutine et le président Dmitri Medvedev ont promis une "modernisation" du système politique, mais celle-ci ne devrait pas voir le jour avant 2013.
"Il est très important de réaffirmer notre dignité retrouvée", ont écrit dans une lettre ouverte plus de 150 acteurs, réalisateurs et journalistes qui vont participer à la manifestation.
Selon une étude de la société d'études de marché Comcon, il pourrait y avoir plus de 100.000 protestataires samedi dans le centre de la capitale russe.
La précédente manifestation le 10 décembre, six jours après les législatives controversées remportées par le parti au pouvoir Russie Unie avec près de 50% des suffrages, avait attiré entre 50.000 et 80.000 personnes.
Et des milliers d'autres manifestants s'étaient réunis dans des dizaines de villes de Russie, comme Saint-Pétersbourg ou Ekaterinbourg (Oural).
L'ancien président soviétique et prix Nobel de la Paix, Mikhaïl Gorbatchev, 80 ans, qui a apporté son soutien à la contestation, a indiqué qu'il se joindra à la foule si sa santé le lui permet.
Ce mouvement de contestation est le plus important en Russie depuis l'arrivée au pouvoir en 2000 de M. Poutine. Et cette mobilisation intervient au moment où ce dernier veut se faire réélire en mars à la présidence, qu'il avait dû abandonner en 2008 à Dmitri Medvedev faute de pouvoir enchaîner plus de deux mandats consécutifs.
L'ex-agent du KGB, qui a vu sa popularité plonger ces derniers mois, s'est moqué de ses détracteurs, dans une émission télévisée de plus de quatre heures la semaine dernière. Il a aussi accusé l'opposition d'être à la solde de l'Occident.
Signe que le pouvoir juge la situation sérieuse, M. Poutine et le président Dmitri Medvedev ont promis une "modernisation" du système politique, mais celle-ci ne devrait pas voir le jour avant 2013.