Les deux gisements sont situés dans le désert de Gobi, a-t-on précisé de source diplomatique française ajoutant qu'il s'agit d'un partenariat à égalité, un tiers pour chaque partie.
L'accord a été signé par les PDG des trois groupes d'énergie nucléaire, en présence des ministres français et mongol des Affaires étrangères, Laurent Fabius et Luvsanvandan Bold. Le PDG d'Areva Luc Oursel faisait partie d'une délégation d'hommes d'affaires français accompagnant le chef de la diplomatie française, en visite depuis vendredi en Mongolie.
M. Bold a souligné que la nouvelle coopération qui s'engage dans le domaine nucléaire est un "pas important" et s'est dit "certain que le principe de sécurité et de respect de la nation mongole sera respecté". Des groupes antinucléaires mongols avaient critiqué la veille la perspective de cet accord.
Le ministre mongol a également affirmé que la Mongolie tenait à développer "une coopération dynamique de 3e voisin" avec la France.
Enclavé entre la Russie et La Chine, ce pays de trois millions d'habitants, dont le sous-sol est riche en minerais (uranium, cuivre or, charbon), cherche à diversifier ses relations politiques et économiques avec d'autres pays que ses deux puissants voisins géographiques, notamment en direction de la France, du Japon et de l'Allemagne.
Laurent Fabius a souhaité "un grand succès " à cette coopération entre les trois partenaires du secteur nucléaire.
"La France veut avoir un partenariat exemplaire avec cette belle démocratie qu'est la Mongolie", a-t-il déclaré. Les deux ministres des Affaires étrangères avaient auparavant signé en présence de la presse plusieurs accords de coopération dans les domaines agricole, de la culture, des sports et du tourisme, ainsi qu'en matière notariale et de visas.
L'accord a été signé par les PDG des trois groupes d'énergie nucléaire, en présence des ministres français et mongol des Affaires étrangères, Laurent Fabius et Luvsanvandan Bold. Le PDG d'Areva Luc Oursel faisait partie d'une délégation d'hommes d'affaires français accompagnant le chef de la diplomatie française, en visite depuis vendredi en Mongolie.
M. Bold a souligné que la nouvelle coopération qui s'engage dans le domaine nucléaire est un "pas important" et s'est dit "certain que le principe de sécurité et de respect de la nation mongole sera respecté". Des groupes antinucléaires mongols avaient critiqué la veille la perspective de cet accord.
Le ministre mongol a également affirmé que la Mongolie tenait à développer "une coopération dynamique de 3e voisin" avec la France.
Enclavé entre la Russie et La Chine, ce pays de trois millions d'habitants, dont le sous-sol est riche en minerais (uranium, cuivre or, charbon), cherche à diversifier ses relations politiques et économiques avec d'autres pays que ses deux puissants voisins géographiques, notamment en direction de la France, du Japon et de l'Allemagne.
Laurent Fabius a souhaité "un grand succès " à cette coopération entre les trois partenaires du secteur nucléaire.
"La France veut avoir un partenariat exemplaire avec cette belle démocratie qu'est la Mongolie", a-t-il déclaré. Les deux ministres des Affaires étrangères avaient auparavant signé en présence de la presse plusieurs accords de coopération dans les domaines agricole, de la culture, des sports et du tourisme, ainsi qu'en matière notariale et de visas.