M. Obama "a exprimé sa reconnaissance pour le rôle joué par la Chine pour parvenir à un accord nucléaire historique complet, de long terme, entre le P5+1 et l'Iran", a souligné la Maison Blanche.
Les deux présidents sont convenus de "l'importance cruciale de poursuivre la coopération entre les Etats-Unis et la Chine pour assurer la totale mise en oeuvre" de cet accord conclu le 14 juillet à Vienne.
Téhéran a accepté, par cet accord conclu avec les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni) plus l'Allemagne, de réduire ses capacités nucléaires en échange d'une levée progressive et réversible des sanctions internationales qui étranglent son économie.
Lors de l'entretien téléphonique, M. Obama a également fait part de son "impatience" à accueillir le président chinois à la Maison Blanche lors de sa visite d'Etat en septembre.
S'ils se trouvaient dans le même camp concernant le nucléaire iranien, les deux pays ont néanmoins des sujets de discorde.
Fin juin, à l'issue de la 7e édition annuelle de leur "dialogue stratégique et économique", Washington a notamment mis en garde Pékin contre ses ambitions territoriales en mer de Chine méridionale et en matière de piratage informatique pour lequel le gouvernement chinois est parfois montré du doigt.
Ils avaient aussi mis en avant leurs positions communes sur des problématiques mondiales: changement climatique, nucléaire iranien et nord-coréen, guerres au Moyen-Orient ou aide humanitaire.
Les deux présidents sont convenus de "l'importance cruciale de poursuivre la coopération entre les Etats-Unis et la Chine pour assurer la totale mise en oeuvre" de cet accord conclu le 14 juillet à Vienne.
Téhéran a accepté, par cet accord conclu avec les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni) plus l'Allemagne, de réduire ses capacités nucléaires en échange d'une levée progressive et réversible des sanctions internationales qui étranglent son économie.
Lors de l'entretien téléphonique, M. Obama a également fait part de son "impatience" à accueillir le président chinois à la Maison Blanche lors de sa visite d'Etat en septembre.
S'ils se trouvaient dans le même camp concernant le nucléaire iranien, les deux pays ont néanmoins des sujets de discorde.
Fin juin, à l'issue de la 7e édition annuelle de leur "dialogue stratégique et économique", Washington a notamment mis en garde Pékin contre ses ambitions territoriales en mer de Chine méridionale et en matière de piratage informatique pour lequel le gouvernement chinois est parfois montré du doigt.
Ils avaient aussi mis en avant leurs positions communes sur des problématiques mondiales: changement climatique, nucléaire iranien et nord-coréen, guerres au Moyen-Orient ou aide humanitaire.