Barack Obama
Lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet du Forum de coopération économique Asie-Pacifique (Apec), M. Obama a indiqué que les Etats-Unis tiendraient des consultations avec Moscou et Pékin dans les prochaines semaines pour exercer une pression supplémentaire sur l'Iran.
M. Obama a estimé que lors de son entrée en fonctions début 2009, le monde était divisé sur la question du nucléaire iranien.
"A présent, le monde est uni et l'Iran est isolé", s'est félicité le président américain, moins d'une semaine après la publication du rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) soupçonnant fortement l'Iran d'avoir travaillé à la mise au point de l'arme atomique.
Les pays occidentaux estiment que ce rapport justifie de nouvelles sanctions internationales contre l'Iran, mais Chinois et Russes se sont jusqu'à présent montrés hostiles à une telle éventualité.
La secrétaire d'Etat Hillary Clinton a exigé vendredi que l'Iran réponde dans les prochains jours au rapport de l'AIEA.
L'Iran a rejeté les accusations de l'AIEA, dont le rapport a été publié alors que des responsables israéliens agitaient depuis plusieurs jours la menace d'une attaque préventive contre des installations nucléaires iraniennes.
Depuis 2007, l'ONU a infligé à l'Iran quatre séries de sanctions économiques et financières. De leur côté, les Occidentaux, Américains et Européens en tête, ont pris des sanctions supplémentaires allant bien plus loin que celles décidées par les Nations unies.
Le dossier iranien a aussi une dimension de politique intérieure pour M. Obama.
Mitt Romney, l'un des favoris de la course à l'investiture républicaine pour la présidentielle, a promis samedi que l'Iran "n'obtiendrait pas l'arme nucléaire" s'il est élu en novembre 2012, lors du débat entre candidats républicains consacré à la politique étrangère américaine.
"Une chose dont vous pouvez être sûr c'est que l'Iran aura l'arme nucléaire si nous réélisons Barack Obama. Et si vous élisez Mitt Romney, si vous m'élisez président, il n'obtiendra pas l'arme nucléaire", a assuré M. Romney.
Interrogé sur ces déclarations, M. Obama a refusé de répondre directement au candidat républicain mais s'est montré cinglant.
Le nucléaire iranien "est-il une question simple? La réponse est non", a-t-il déclaré. "Quiconque prétend le contraire fait soit de la politique politicienne ou alors ne sait pas de quoi il parle".
"Le monde entier et également l'Iran comprennent parfaitement à quel point nous sommes déterminés à empêcher l'Iran de devenir une puissance nucléaire ainsi qu'une course à l'arme atomique dans la région", a assuré le président américain.
M. Obama a estimé que lors de son entrée en fonctions début 2009, le monde était divisé sur la question du nucléaire iranien.
"A présent, le monde est uni et l'Iran est isolé", s'est félicité le président américain, moins d'une semaine après la publication du rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) soupçonnant fortement l'Iran d'avoir travaillé à la mise au point de l'arme atomique.
Les pays occidentaux estiment que ce rapport justifie de nouvelles sanctions internationales contre l'Iran, mais Chinois et Russes se sont jusqu'à présent montrés hostiles à une telle éventualité.
La secrétaire d'Etat Hillary Clinton a exigé vendredi que l'Iran réponde dans les prochains jours au rapport de l'AIEA.
L'Iran a rejeté les accusations de l'AIEA, dont le rapport a été publié alors que des responsables israéliens agitaient depuis plusieurs jours la menace d'une attaque préventive contre des installations nucléaires iraniennes.
Depuis 2007, l'ONU a infligé à l'Iran quatre séries de sanctions économiques et financières. De leur côté, les Occidentaux, Américains et Européens en tête, ont pris des sanctions supplémentaires allant bien plus loin que celles décidées par les Nations unies.
Le dossier iranien a aussi une dimension de politique intérieure pour M. Obama.
Mitt Romney, l'un des favoris de la course à l'investiture républicaine pour la présidentielle, a promis samedi que l'Iran "n'obtiendrait pas l'arme nucléaire" s'il est élu en novembre 2012, lors du débat entre candidats républicains consacré à la politique étrangère américaine.
"Une chose dont vous pouvez être sûr c'est que l'Iran aura l'arme nucléaire si nous réélisons Barack Obama. Et si vous élisez Mitt Romney, si vous m'élisez président, il n'obtiendra pas l'arme nucléaire", a assuré M. Romney.
Interrogé sur ces déclarations, M. Obama a refusé de répondre directement au candidat républicain mais s'est montré cinglant.
Le nucléaire iranien "est-il une question simple? La réponse est non", a-t-il déclaré. "Quiconque prétend le contraire fait soit de la politique politicienne ou alors ne sait pas de quoi il parle".
"Le monde entier et également l'Iran comprennent parfaitement à quel point nous sommes déterminés à empêcher l'Iran de devenir une puissance nucléaire ainsi qu'une course à l'arme atomique dans la région", a assuré le président américain.