Le représentant de l'Arabie saoudite à l'ONU Abdallah Al-Mouallimi a écrit au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon pour l'informer de cette décision.
"Je souhaite vous informer que le gouvernement du Royaume d'Arabie saoudite a décidé que l'Arabie saoudite ne serait malheureusement pas en mesure d'occuper son siège au Conseil de sécurité", indique la lettre dont l'AFP a obtenu une copie.
Une copie d'un communiqué du ministère des Affaires étrangères saoudien datant du mois dernier accompagnait la lettre. Ce texte critiquait le Conseil pour son impuissance à agir dans le conflit syrien.
Le porte-parole de l'ONU Martin Nesirky a confirmé qu'une lettre avait bien été reçue, sans donner plus de détails. "Il s'agit à présent d'une question pour le Royaume d'Arabie saoudite, le Conseil de sécurité et ses Etats membres", s'est-il contenté de déclarer.
L'Arabie saoudite avait pour la première fois le mois dernier obtenu un siège au Conseil de sécurité de l'ONU. Mais dès le lendemain de cette élection, Ryad avait surpris les dirigeants du monde en annonçant qu'il refusait ce siège, un acte sans précédent visant à protester contre l'inaction du Conseil dans le dossier syrien.
Ryad se plaint aussi du manque de progrès dans les efforts pour mettre fin au conflit israélo-palestinien.
Les diplomates occidentaux estiment désormais que la Jordanie devrait récupérer le siège laissé vacant. Les responsables jordaniens n'ont pas confirmé cette information, précisant simplement que cette question était en discussion.
La Jordanie s'est toutefois retirée de la course pour siéger au Conseil des droits de l'homme de l'ONU afin que l’Arabie saoudite puisse être élue mardi au sein de cet organe basé à Genève.
Une nouvelle élection au sein de l'Assemblée générale de l'ONU devra être organisée pour permettre à un autre pays de prendre le siège de deux ans au Conseil de sécurité que l'Arabie saoudite aurait dû occuper à partir du 1er janvier prochain.
Le Conseil, qui compte 15 membres, renouvelle chaque année cinq de ses dix sièges de membres non permanents, sur une base régionale.
"Je souhaite vous informer que le gouvernement du Royaume d'Arabie saoudite a décidé que l'Arabie saoudite ne serait malheureusement pas en mesure d'occuper son siège au Conseil de sécurité", indique la lettre dont l'AFP a obtenu une copie.
Une copie d'un communiqué du ministère des Affaires étrangères saoudien datant du mois dernier accompagnait la lettre. Ce texte critiquait le Conseil pour son impuissance à agir dans le conflit syrien.
Le porte-parole de l'ONU Martin Nesirky a confirmé qu'une lettre avait bien été reçue, sans donner plus de détails. "Il s'agit à présent d'une question pour le Royaume d'Arabie saoudite, le Conseil de sécurité et ses Etats membres", s'est-il contenté de déclarer.
L'Arabie saoudite avait pour la première fois le mois dernier obtenu un siège au Conseil de sécurité de l'ONU. Mais dès le lendemain de cette élection, Ryad avait surpris les dirigeants du monde en annonçant qu'il refusait ce siège, un acte sans précédent visant à protester contre l'inaction du Conseil dans le dossier syrien.
Ryad se plaint aussi du manque de progrès dans les efforts pour mettre fin au conflit israélo-palestinien.
Les diplomates occidentaux estiment désormais que la Jordanie devrait récupérer le siège laissé vacant. Les responsables jordaniens n'ont pas confirmé cette information, précisant simplement que cette question était en discussion.
La Jordanie s'est toutefois retirée de la course pour siéger au Conseil des droits de l'homme de l'ONU afin que l’Arabie saoudite puisse être élue mardi au sein de cet organe basé à Genève.
Une nouvelle élection au sein de l'Assemblée générale de l'ONU devra être organisée pour permettre à un autre pays de prendre le siège de deux ans au Conseil de sécurité que l'Arabie saoudite aurait dû occuper à partir du 1er janvier prochain.
Le Conseil, qui compte 15 membres, renouvelle chaque année cinq de ses dix sièges de membres non permanents, sur une base régionale.