Le taux de respect des pays membres et des pays indépendants de l’accord de réduction de la production du pétrole en juillet est de 94%, a révélé l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP)
Dans un communiqué publié jeudi, l’OPEP a qualifié d’« impressionnant », ce taux de conformité, qui représente « une preuve de l'engagement des pays producteurs participants à continuer leur coopération en matière de rééquilibrage du marché ».
Au début de cette année, les membres de l'OPEP et des producteurs indépendants ont commencé à réduire la production de 1,8 million de barils par jour, pour six mois.
Le 25 mai 2017, le comité ministériel conjoint entre les pays membres de l'OPEP et des producteurs hors OPEP, a décidé d'étendre les ajustements volontaires de production pour neuf mois supplémentaires, à partir du 1er juillet 2017, afin de rétablir la stabilité des marchés pétroliers.
Le comité ministériel conjoint de suivi (composé des membres de l'OPEP et de producteurs indépendants) tiendra sa prochaine réunion le 22 septembre à Vienne, en Autriche.
Entre temps, l’organisation intergouvernementale prévoit de « continuer à surveiller d'autres facteurs sur le marché du pétrole et leur influence sur le processus de rééquilibrage du marché en cours ».
« Toutes les options, y compris l'extension éventuelle de la Déclaration de coopération au-delà du premier trimestre de 2018, restent ouvertes», a précisé l’OPEP.
L'accord mondial de réduction de la production du pétrole a été affecté par une augmentation de la production des hydrocarbures non-conventionnels, comme l’huile de schiste aux États-Unis, et la croissance de la production de pays comme le Canada et le Kazakhstan.
« La croissance mondiale de la demande de pétrole en 2017 est maintenant meilleure que prévu, alors qu'en 2018, la demande mondiale de pétrole devrait augmenter encore », a estimé l’OPEP.
L’OPEP a par ailleurs annoncé son intention d'inviter la Libye et le Nigéria à ses prochaines réunions, que ce soit celles du comité technique conjoint ou du comité ministériel conjoint de suivi.
En juillet dernier, la production du Nigeria a augmenté de 12,5% par rapport à décembre 2016, passant de 1,553 millions de barils par jour à 1,748 million de baril par jour.
Le mois dernier, la Libye a augmenté sa production pétrolière de plus de 1 million de barils par jour pour la première fois depuis le troisième trimestre de 2013.
Des calculs établis par Anadolu, basés sur les rapports mensuels de l’organisation, ont montré que la production libyenne de pétrole brut en juillet 2017 a grimpé de 67% par rapport à décembre 2016.
Les producteurs de pétrole concernés par l’accord de réduction de la production avaient décidé d'exempter la Libye et le Nigeria de l'accord, en raison des années d'instabilité qui avait affecté la production des deux pays.
Dans un communiqué publié jeudi, l’OPEP a qualifié d’« impressionnant », ce taux de conformité, qui représente « une preuve de l'engagement des pays producteurs participants à continuer leur coopération en matière de rééquilibrage du marché ».
Au début de cette année, les membres de l'OPEP et des producteurs indépendants ont commencé à réduire la production de 1,8 million de barils par jour, pour six mois.
Le 25 mai 2017, le comité ministériel conjoint entre les pays membres de l'OPEP et des producteurs hors OPEP, a décidé d'étendre les ajustements volontaires de production pour neuf mois supplémentaires, à partir du 1er juillet 2017, afin de rétablir la stabilité des marchés pétroliers.
Le comité ministériel conjoint de suivi (composé des membres de l'OPEP et de producteurs indépendants) tiendra sa prochaine réunion le 22 septembre à Vienne, en Autriche.
Entre temps, l’organisation intergouvernementale prévoit de « continuer à surveiller d'autres facteurs sur le marché du pétrole et leur influence sur le processus de rééquilibrage du marché en cours ».
« Toutes les options, y compris l'extension éventuelle de la Déclaration de coopération au-delà du premier trimestre de 2018, restent ouvertes», a précisé l’OPEP.
L'accord mondial de réduction de la production du pétrole a été affecté par une augmentation de la production des hydrocarbures non-conventionnels, comme l’huile de schiste aux États-Unis, et la croissance de la production de pays comme le Canada et le Kazakhstan.
« La croissance mondiale de la demande de pétrole en 2017 est maintenant meilleure que prévu, alors qu'en 2018, la demande mondiale de pétrole devrait augmenter encore », a estimé l’OPEP.
L’OPEP a par ailleurs annoncé son intention d'inviter la Libye et le Nigéria à ses prochaines réunions, que ce soit celles du comité technique conjoint ou du comité ministériel conjoint de suivi.
En juillet dernier, la production du Nigeria a augmenté de 12,5% par rapport à décembre 2016, passant de 1,553 millions de barils par jour à 1,748 million de baril par jour.
Le mois dernier, la Libye a augmenté sa production pétrolière de plus de 1 million de barils par jour pour la première fois depuis le troisième trimestre de 2013.
Des calculs établis par Anadolu, basés sur les rapports mensuels de l’organisation, ont montré que la production libyenne de pétrole brut en juillet 2017 a grimpé de 67% par rapport à décembre 2016.
Les producteurs de pétrole concernés par l’accord de réduction de la production avaient décidé d'exempter la Libye et le Nigeria de l'accord, en raison des années d'instabilité qui avait affecté la production des deux pays.