Barack Obama
"Aucune administration américaine n'en a fait davantage pour la sécurité d'Israël que la nô tre. Aucune. Ne laissez personne vous dire le contraire. C'est un fait" établi, a déclaré M. Obama d'un ton très ferme en participant à une conférence du groupe "Union for Reform Judaism" (URJ) à Washington.
M. Obama a cité à l'appui de ses dires l'aide des Etats-Unis pour exfiltrer des diplomates israéliens pris au piège de leur ambassade assiégée par des manifestants au Caire en septembre, l'assistance américaine à la lutte contre les incendies dans la région de Haïfa (nord) et l'aide financière au développement du système antimissile israélien "Dô me de fer".
M. Obama a aussi répété l'engagement de son administration à "empêcher l'Iran de développer des armes nucléaires". "Nous n'avons pas fait qu'en parler. Nous avons agi et nous allons continuer à appliquer la pression" sur la république islamique, a-t-il précisé en évoquant les sanctions économiques renforcées imposées au régime ces derniers mois.
M. Obama avait déjà prononcé une telle profession de foi en petit comité lors d'une réunion de levée de fonds fin novembre à New York, alors que plusieurs candidats à la nomination républicaine en vue de la présidentielle de novembre 2012 l'ont accusé de ne pas soutenir l'Etat hébreu.
M. Obama, dont les relations avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ont connu des hauts et des bas, en particulier sur la façon de relancer le processus de paix avec les Palestiniens, devait rencontrer vendredi le ministre israélien de la Défense Ehud Barak en marge de la conférence de l'URJ.
M. Obama a cité à l'appui de ses dires l'aide des Etats-Unis pour exfiltrer des diplomates israéliens pris au piège de leur ambassade assiégée par des manifestants au Caire en septembre, l'assistance américaine à la lutte contre les incendies dans la région de Haïfa (nord) et l'aide financière au développement du système antimissile israélien "Dô me de fer".
M. Obama a aussi répété l'engagement de son administration à "empêcher l'Iran de développer des armes nucléaires". "Nous n'avons pas fait qu'en parler. Nous avons agi et nous allons continuer à appliquer la pression" sur la république islamique, a-t-il précisé en évoquant les sanctions économiques renforcées imposées au régime ces derniers mois.
M. Obama avait déjà prononcé une telle profession de foi en petit comité lors d'une réunion de levée de fonds fin novembre à New York, alors que plusieurs candidats à la nomination républicaine en vue de la présidentielle de novembre 2012 l'ont accusé de ne pas soutenir l'Etat hébreu.
M. Obama, dont les relations avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ont connu des hauts et des bas, en particulier sur la façon de relancer le processus de paix avec les Palestiniens, devait rencontrer vendredi le ministre israélien de la Défense Ehud Barak en marge de la conférence de l'URJ.