Nicolas Sarkozy et Barack Obama
Les deux présidents étaient installés pour l'occasion dans la mairie de Cannes, ville qui a accueilli jeudi et vendredi dans son palais des festivals la réunion du G20, le forum annuel des vingt principales puissances économiques, phagocytée cette année par la crise de la dette dans la zone euro, notamment en Grèce.
MM. Sarkozy et Obama ont participé à ce G20.
"Vu le fait que nous avons beaucoup travaillé ensemble, Nicolas et moi, nous entretenons d'excellentes relations, nous les avons toujours eues. Cela résulte du fait que nous partageons des responsabilités, nous menons les mêmes combats dans une époque très difficile", a affirmé M. Obama.
Selon lui, "Nicolas a toujours été un partenaire ouvert, qui travaille beaucoup, qui a beaucoup d'énergie. Que ce soit sur des questions économiques, des questions liées à la sécurité, il a été un partenaire absolument essentiel".
Le président américain a également assuré que "l'on n'aurait pas pu réussir en Libye sans le leadership de Nicolas et de l'Otan, on ne serait pas dans une position aussi forte en Afghanistan sans le leadership de Nicolas Sarkozy ainsi que des autres partenaires de notre coalition".
"Nicolas Sarkozy "est quelqu'un qui a beaucoup d'énergie, et c'est quelqu'un qui n'aime pas perdre, donc il va donner cette énergie à toute campagne éventuelle", a jugé M. Obama à propos de son homologue qui, selon toute probabilité, devrait être candidat à sa propre succession en 2012.
Il n'a en revanche pas mentionné le fait qu'il était lui-même candidat à sa réélection, à un an de l'élection présidentielle américaine de 2012.
La relation entre la France et les Etats-Unis va "au-delà de la relation entre ses deux dirigeants" et "les Américains ont un respect énorme pour l'amitié de longue date entre nos deux pays", a souligné M. Obama.
Le président Sarkozy n'a lui aussi pas tari d'éloges envers son homologue américain, "un homme que l'on peut convaincre" et "un homme courageux".
"L'amitié entre la France et les Etats-Unis, c'est crucial mais l'amitié, ce n'est pas seulement les bons moments", a ajouté M. Sarkozy.
M. Sarkozy s'est particulièrement félicité de ce que M. Obama soit, selon lui, "le premier président des Etats-Unis à faire un pas vers une taxation des acteurs financiers. Je lui en suis reconnaissant", a-t-il dit.
MM. Sarkozy et Obama ont participé à ce G20.
"Vu le fait que nous avons beaucoup travaillé ensemble, Nicolas et moi, nous entretenons d'excellentes relations, nous les avons toujours eues. Cela résulte du fait que nous partageons des responsabilités, nous menons les mêmes combats dans une époque très difficile", a affirmé M. Obama.
Selon lui, "Nicolas a toujours été un partenaire ouvert, qui travaille beaucoup, qui a beaucoup d'énergie. Que ce soit sur des questions économiques, des questions liées à la sécurité, il a été un partenaire absolument essentiel".
Le président américain a également assuré que "l'on n'aurait pas pu réussir en Libye sans le leadership de Nicolas et de l'Otan, on ne serait pas dans une position aussi forte en Afghanistan sans le leadership de Nicolas Sarkozy ainsi que des autres partenaires de notre coalition".
"Nicolas Sarkozy "est quelqu'un qui a beaucoup d'énergie, et c'est quelqu'un qui n'aime pas perdre, donc il va donner cette énergie à toute campagne éventuelle", a jugé M. Obama à propos de son homologue qui, selon toute probabilité, devrait être candidat à sa propre succession en 2012.
Il n'a en revanche pas mentionné le fait qu'il était lui-même candidat à sa réélection, à un an de l'élection présidentielle américaine de 2012.
La relation entre la France et les Etats-Unis va "au-delà de la relation entre ses deux dirigeants" et "les Américains ont un respect énorme pour l'amitié de longue date entre nos deux pays", a souligné M. Obama.
Le président Sarkozy n'a lui aussi pas tari d'éloges envers son homologue américain, "un homme que l'on peut convaincre" et "un homme courageux".
"L'amitié entre la France et les Etats-Unis, c'est crucial mais l'amitié, ce n'est pas seulement les bons moments", a ajouté M. Sarkozy.
M. Sarkozy s'est particulièrement félicité de ce que M. Obama soit, selon lui, "le premier président des Etats-Unis à faire un pas vers une taxation des acteurs financiers. Je lui en suis reconnaissant", a-t-il dit.