M. Obama, qui a eu un entretien "très bref" avec son homologue pakistanais Asif Ali Zardari, a toutefois dit qu'il ne s'était pas attendu à un accord au sommet sur cette question des routes de ravitaillement, fermées depuis six mois par Islamabad.
"Nous faisons des progrès sur la question", a déclaré Barack Obama.
La réouverture des routes pakistanaises aux convois de l'Otan, stratégique pour le désengagement graduel de l'Alliance atlantique d'Afghanistan, est suspendue à un accord sur le coût du péage exigé par le Pakistan, jugé "inacceptable" par les Etats-Unis, selon un haut responsable américain s'exprimant sous le couvert d'anonymat.
Islamabad interdit le passage des convois routiers de l'Otan sur son territoire depuis six mois en représailles à la mort de 24 de ses soldats tués par erreur dans des frappes aériennes américaines.
Dans sa déclaration officielle, l'Otan a dit "travailler avec le Pakistan afin de réouvrir les lignes de communication terrestres dès que possible" et son secrétaire général Anders Fogh Rasmussen a dit s'attendre à ce qu'elles le soient dans un "avenir très proche".
Le président américain a par ailleurs répété que "le Pakistan doit faire partie de la solution en Afghanistan" et reconnu que la relation entre Islamabad, les Etats-Unis et l'Otan avait été émaillée de "tensions".
"Nous faisons des progrès sur la question", a déclaré Barack Obama.
La réouverture des routes pakistanaises aux convois de l'Otan, stratégique pour le désengagement graduel de l'Alliance atlantique d'Afghanistan, est suspendue à un accord sur le coût du péage exigé par le Pakistan, jugé "inacceptable" par les Etats-Unis, selon un haut responsable américain s'exprimant sous le couvert d'anonymat.
Islamabad interdit le passage des convois routiers de l'Otan sur son territoire depuis six mois en représailles à la mort de 24 de ses soldats tués par erreur dans des frappes aériennes américaines.
Dans sa déclaration officielle, l'Otan a dit "travailler avec le Pakistan afin de réouvrir les lignes de communication terrestres dès que possible" et son secrétaire général Anders Fogh Rasmussen a dit s'attendre à ce qu'elles le soient dans un "avenir très proche".
Le président américain a par ailleurs répété que "le Pakistan doit faire partie de la solution en Afghanistan" et reconnu que la relation entre Islamabad, les Etats-Unis et l'Otan avait été émaillée de "tensions".