"Lorsque la vie d'un Français est en jeu, la France est toujours prête à négocier, c'est ce qui s'est passé avec un précédent otage, Pierre Camatte", a affirmé M. Guéant à l'AFP.
Mais "je réaffirme que jamais, nous n'avons eu la possibilité d'entrer en contact avec Al-Qaïda pour la libération de Michel Germaneau", a-t-il insisté.
Le bras droit du président Nicolas Sarkozy a également fait remarquer que le groupe d'Aqmi qui détenait les deux otages espagnols n'était "pas le même" que celui qui détenait Michel Germaneau.
Deux humanitaires espagnols, retenus en otages depuis près de neuf mois au Mali par Aqmi, ont été libérés lundi. Selon la presse espagnole, Madrid a payé un total estimé de 7 millions d'euros pour obtenir leur libération.
Aqmi a ensuite affirmé, dans un message diffusé par le quotidien espagnol El Pais, que cette libération constituait une "leçon pour les services secrets français", rappelant l'échec d'un raid franco-mauritanien pour libérer Michel Germaneau.
Aqmi maintient qu'il y avait eu des "négociations" avec la France pour sa libération.
Michel Germaneau, militant humanitaire de 78 ans, malade du coeur, avait été enlevé le 19 avril dans le nord du Niger. Dans un enregistrement sonore diffusé le 25 juillet par la chaîne Al-Jazira, le chef d'Aqmi, Abou Moussab Abdel Wadou, avait justifié son exécution par la volonté de "venger" celle de combattants d'Aqmi tués trois jours auparavant lors d'un raid franco-mauritanien en territoire malien.
Mais "je réaffirme que jamais, nous n'avons eu la possibilité d'entrer en contact avec Al-Qaïda pour la libération de Michel Germaneau", a-t-il insisté.
Le bras droit du président Nicolas Sarkozy a également fait remarquer que le groupe d'Aqmi qui détenait les deux otages espagnols n'était "pas le même" que celui qui détenait Michel Germaneau.
Deux humanitaires espagnols, retenus en otages depuis près de neuf mois au Mali par Aqmi, ont été libérés lundi. Selon la presse espagnole, Madrid a payé un total estimé de 7 millions d'euros pour obtenir leur libération.
Aqmi a ensuite affirmé, dans un message diffusé par le quotidien espagnol El Pais, que cette libération constituait une "leçon pour les services secrets français", rappelant l'échec d'un raid franco-mauritanien pour libérer Michel Germaneau.
Aqmi maintient qu'il y avait eu des "négociations" avec la France pour sa libération.
Michel Germaneau, militant humanitaire de 78 ans, malade du coeur, avait été enlevé le 19 avril dans le nord du Niger. Dans un enregistrement sonore diffusé le 25 juillet par la chaîne Al-Jazira, le chef d'Aqmi, Abou Moussab Abdel Wadou, avait justifié son exécution par la volonté de "venger" celle de combattants d'Aqmi tués trois jours auparavant lors d'un raid franco-mauritanien en territoire malien.