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La manifestation, qui existe depuis une trentaine d’années et qui a désormais acquis une renommée internationale, entend "montrer une autre image de la photographie en mettant des professionnels à côté des talents émergents", explique le président-fondateur, Jean-Pierre Puton.
Aux côtés des clichés d’amateurs, choisis par un comité de sélection, figurent quelques grands noms de la photographie actuelle, tels l’Australien Paul Blackmore ou les Français Valérie Donsbecke ou Frédéric Jaulmes.
Ce dernier a ainsi mis plus de deux ans pour mettre au point une technique lui permettant de créer des boules de glaces transparentes, qu’il photographie dans la nature, illustrant les quatre éléments.
"Ces boules de glace, parce qu’elles sont extrêmement fragiles, m’ont passionné. Elles contrastent avec les éléments auxquels je les confronte, que ce soit un bloc de béton, ou une jonquille", explique le photographe qui vit à Montpellier.
La biennale laisse également une part belle au photojournalisme, à travers des dizaines de clichés originaux "vintage" de grandes agences de photo, les plus anciennes datant des années 30.
L’exposition de tirages originaux de Miami sous les eaux en 1930 ou d’une tempête de sable à Yazd (Iran) en 1970 se veulent ainsi "un acte militant pour défendre le photojournalisme, qui est en train de mourir: les milliers de photos qui circulent sur internet n’atteignent pas cette qualité là, nous voulons montrer que la photo, c’est un vrai métier, ça ne s’improvise pas", défend le président de la Biennale.
Jean-Pierre Puton insiste par ailleurs sur une volonté de présenter "de la création et de la diffusion: c’est la présence des deux qui fait la force de la manifestation".
La Biennale de l’image, qui s’expose sur un ancien site industriel de 6.000 m2, se poursuit jusqu’au 2 mai.
Aux côtés des clichés d’amateurs, choisis par un comité de sélection, figurent quelques grands noms de la photographie actuelle, tels l’Australien Paul Blackmore ou les Français Valérie Donsbecke ou Frédéric Jaulmes.
Ce dernier a ainsi mis plus de deux ans pour mettre au point une technique lui permettant de créer des boules de glaces transparentes, qu’il photographie dans la nature, illustrant les quatre éléments.
"Ces boules de glace, parce qu’elles sont extrêmement fragiles, m’ont passionné. Elles contrastent avec les éléments auxquels je les confronte, que ce soit un bloc de béton, ou une jonquille", explique le photographe qui vit à Montpellier.
La biennale laisse également une part belle au photojournalisme, à travers des dizaines de clichés originaux "vintage" de grandes agences de photo, les plus anciennes datant des années 30.
L’exposition de tirages originaux de Miami sous les eaux en 1930 ou d’une tempête de sable à Yazd (Iran) en 1970 se veulent ainsi "un acte militant pour défendre le photojournalisme, qui est en train de mourir: les milliers de photos qui circulent sur internet n’atteignent pas cette qualité là, nous voulons montrer que la photo, c’est un vrai métier, ça ne s’improvise pas", défend le président de la Biennale.
Jean-Pierre Puton insiste par ailleurs sur une volonté de présenter "de la création et de la diffusion: c’est la présence des deux qui fait la force de la manifestation".
La Biennale de l’image, qui s’expose sur un ancien site industriel de 6.000 m2, se poursuit jusqu’au 2 mai.
