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L'événement réunit les partenaires sociaux, la Commission européenne et les représentants de la "troïka" européenne, c'est à dire l'actuelle présidence tchèque de l'UE, ainsi que la Suède et l'Espagne qui lui succèderont.
"Je crois que les conclusions (en cours de finalisation) sont bonnes en tant que point de départ", a déclaré Celestino Corbacho, le ministre espagnol de l'Emploi à son arrivée à la réunion.
"Je crois que ça sera un succès si nous arrivons à définir ensemble des approches communes axées sur la création de nouveaux emplois", passant par une réduction des coûts et des contraintes administratives pour les entreprises, a commenté son homologue tchèque, Petr Necas.
Ce sommet doit permettre de dégager "dix actions concrètes" à mettre en pratique par les gouvernements et les partenaires sociaux pour "atténuer les conséquences économiques et sociales de la crise et placer l'UE dans une meilleure position lorsque l'économie reprendra", selon un projet de déclaration obtenu par l'AFP.
Un recours au chômage partiel "peut constituer une option efficace pour des entreprises de toutes les tailles, avec le soutien de fonds publics", stipule notamment ce texte, qui préconise un abaissement des coûts non-salariaux.
Les pays européens sont aussi invités à améliorer l'efficacité de leurs agences nationales pour l'emploi.
A l'origine, la Commission européenne avait voulu faire de cette réunion un vrai sommet des chefs d'Etat des 27 pays de l'UE pour discuter des moyens d'agir ensemble face à la montée du chômage.
Mais la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Belgique avaient argué qu'un tel sommet risquait de susciter des attentes dans l'opinion auxquelles les gouvernements seraient bien en peine ensuite de répondre, vu leurs faibles moyens d'action sur le court terme face aux pertes d'emplois.
"Je crois que les conclusions (en cours de finalisation) sont bonnes en tant que point de départ", a déclaré Celestino Corbacho, le ministre espagnol de l'Emploi à son arrivée à la réunion.
"Je crois que ça sera un succès si nous arrivons à définir ensemble des approches communes axées sur la création de nouveaux emplois", passant par une réduction des coûts et des contraintes administratives pour les entreprises, a commenté son homologue tchèque, Petr Necas.
Ce sommet doit permettre de dégager "dix actions concrètes" à mettre en pratique par les gouvernements et les partenaires sociaux pour "atténuer les conséquences économiques et sociales de la crise et placer l'UE dans une meilleure position lorsque l'économie reprendra", selon un projet de déclaration obtenu par l'AFP.
Un recours au chômage partiel "peut constituer une option efficace pour des entreprises de toutes les tailles, avec le soutien de fonds publics", stipule notamment ce texte, qui préconise un abaissement des coûts non-salariaux.
Les pays européens sont aussi invités à améliorer l'efficacité de leurs agences nationales pour l'emploi.
A l'origine, la Commission européenne avait voulu faire de cette réunion un vrai sommet des chefs d'Etat des 27 pays de l'UE pour discuter des moyens d'agir ensemble face à la montée du chômage.
Mais la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Belgique avaient argué qu'un tel sommet risquait de susciter des attentes dans l'opinion auxquelles les gouvernements seraient bien en peine ensuite de répondre, vu leurs faibles moyens d'action sur le court terme face aux pertes d'emplois.
