Outre les représentants de 53 pays, ce sommet réunit Interpol et trois autres organisations internationales.
Il s'est ouvert officiellement par un dîner de travail présidé par le président sud-coréen Lee Myung-Bak.
Dans un communiqué, les organisateurs ont salué "des progrès substantiels" réalisés depuis le premier sommet, qui s'était tenu en 2010 à Washington.
"Des milliers de livres de matériel nucléaire ont été retirées de sites dans le monde, du matériel potentiellement meurtrier qui est à présent en sécurité et ne peut pas être utilisé contre une ville comme Séoul", avait déclaré dans la matinée le président américain.
Le sommet de Washington s'était tenu dans le but d'empêcher que du plutonium ou de l'uranium hautement enrichi (UHE) ne tombent entre les mains de terroristes. Plusieurs pays, dont le Kazakhstan, le Mexique et l'Ukraine, ont depuis placé leur matériel nucléaire en sécurité.
Il s'est ouvert officiellement par un dîner de travail présidé par le président sud-coréen Lee Myung-Bak.
Dans un communiqué, les organisateurs ont salué "des progrès substantiels" réalisés depuis le premier sommet, qui s'était tenu en 2010 à Washington.
"Des milliers de livres de matériel nucléaire ont été retirées de sites dans le monde, du matériel potentiellement meurtrier qui est à présent en sécurité et ne peut pas être utilisé contre une ville comme Séoul", avait déclaré dans la matinée le président américain.
Le sommet de Washington s'était tenu dans le but d'empêcher que du plutonium ou de l'uranium hautement enrichi (UHE) ne tombent entre les mains de terroristes. Plusieurs pays, dont le Kazakhstan, le Mexique et l'Ukraine, ont depuis placé leur matériel nucléaire en sécurité.