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Selon l'hebdomadaire, un Airbus A318 de la compagnie française était sur le point de décoller de Düsseldorf le 4 juin quand un voyant a signalé une panne du détecteur de fumée situé dans une soute à bagages.
Comme il s'agissait d'une alerte de niveau 2, n'imposant pas une immobilisation, l'appareil aurait néanmoins effectué son vol pour Roissy-Charles de Gaulle, précise l'hebdomadaire.
Air France assure pour sa part que la panne a été détectée "par le pilote, au sol" à Düsseldorf.
A Paris, les mécaniciens auraient, selon Le Point, découvert "avec stupeur" que deux faisceaux électriques reliés à ce détecteur avaient été sectionnés, vraisemblablement à l'aide d'un cutter.
Un porte-parole de la compagnie a indiqué qu'une plainte "a été déposée le 9 juin auprès de la Gendarmerie du transport aérien (GTA)."
Selon un porte-parole de la gendarmerie, la GTA estime que la thèse de l'acte de malveillance est possible.
Comme il s'agissait d'une alerte de niveau 2, n'imposant pas une immobilisation, l'appareil aurait néanmoins effectué son vol pour Roissy-Charles de Gaulle, précise l'hebdomadaire.
Air France assure pour sa part que la panne a été détectée "par le pilote, au sol" à Düsseldorf.
A Paris, les mécaniciens auraient, selon Le Point, découvert "avec stupeur" que deux faisceaux électriques reliés à ce détecteur avaient été sectionnés, vraisemblablement à l'aide d'un cutter.
Un porte-parole de la compagnie a indiqué qu'une plainte "a été déposée le 9 juin auprès de la Gendarmerie du transport aérien (GTA)."
Selon un porte-parole de la gendarmerie, la GTA estime que la thèse de l'acte de malveillance est possible.
