L'idée visant à mettre en place des forces internationales spéciales chargées de combattre les flibustiers au large des côtes somaliennes appartient à la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton.
"Les aspects techniques de l'initiative sont à évaluer", a affirmé le diplomate russe, ajoutant que Moscou "saluait toute coopération entre les pays participant à la lutte contre la piraterie conforme aux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU".
M. Nesterenko a rappelé qu'un mécanisme spécial - un groupe de contact dont la Russie fait partie - avait été institué afin de coordonner les efforts internationaux dans ce domaine.
"De nombreux problèmes organisationnels sont encore à régler. Il est indispensable de définir le format et le degré de participation des Etats, de concevoir les modalités d'enquêtes et des poursuites judiciaires contre les personnes coupables de piraterie", a précisé M. Nesterenko, ajoutant que les partenaires de la Russie "n'avait pas encore arrêté une position commune à ce sujet".
Mme Clinton a évoqué la création de forces internationales après les deux tentatives de capturer des cargos américains entreprises par des pirates somaliens en l'espace d'une semaine. La secrétaire d'Etat a formulé un plan en quatre points appelant notamment à suivre et à geler les comptes bancaires utilisés par les pirates pour acheter du matériel sophistiqué et des bateaux rapides. Le plan propose également d'associer les pays intéressés à la lutte internationale contre les "écumeurs des mers" et de traduire en justice les personnes arrêtées sous l'accusation de piraterie.
"Les aspects techniques de l'initiative sont à évaluer", a affirmé le diplomate russe, ajoutant que Moscou "saluait toute coopération entre les pays participant à la lutte contre la piraterie conforme aux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU".
M. Nesterenko a rappelé qu'un mécanisme spécial - un groupe de contact dont la Russie fait partie - avait été institué afin de coordonner les efforts internationaux dans ce domaine.
"De nombreux problèmes organisationnels sont encore à régler. Il est indispensable de définir le format et le degré de participation des Etats, de concevoir les modalités d'enquêtes et des poursuites judiciaires contre les personnes coupables de piraterie", a précisé M. Nesterenko, ajoutant que les partenaires de la Russie "n'avait pas encore arrêté une position commune à ce sujet".
Mme Clinton a évoqué la création de forces internationales après les deux tentatives de capturer des cargos américains entreprises par des pirates somaliens en l'espace d'une semaine. La secrétaire d'Etat a formulé un plan en quatre points appelant notamment à suivre et à geler les comptes bancaires utilisés par les pirates pour acheter du matériel sophistiqué et des bateaux rapides. Le plan propose également d'associer les pays intéressés à la lutte internationale contre les "écumeurs des mers" et de traduire en justice les personnes arrêtées sous l'accusation de piraterie.