"Plus de 60% des centres (sont) en grève", "les syndicats de Météo-France s'opposent à ce démantèlement du service météorologique et dénoncent une vision purement comptable des emplois publics", a déclaré le syndicat dans un communiqué reçu par l'AFP.
Les agents de Météo-France devaient manifester vendredi devant le siège de Météo-France, dans le 7e arrondissement de Paris, durant un conseil d'administration de l'établissement public, qui a présenté en juin 2008 un plan global ramenant le nombre des centres départementaux de 100 à 40 d'ici 2017 et la suppression d'environ 500 postes.
"Plus de 60% des centres en grève, ça veut dire 60% des personnels, ça montre qu'il y a une mobilisation dans les régions et dans les centres qui sont directement menacés", a estimé le secrétaire du syndicat CGT de Météo-France à Toulouse, Emmanuel Celhay.
"On a des craintes pour notre établissement qui est reconnu internationalement, ça marche bien et ça risque de marcher beaucoup moins bien", a-t-il ajouté.
La direction justifie la restructuration par la nécessité de s'adapter aux évolutions technologiques et de faire face à la concurrence. En mars 2005, la Cour des comptes avait estimé que l'établissement public souffrait d'un problème de sureffectif.
L'intersyndicale (Spasmet-Solidaires, CGT, CFDT, FO) s'est déjà mobilisée l'an dernier, au moment de l'annonce du plan, et surtout à l'automne 2008, où 11 jours de grève ont été observés dans le plus important centre de Météo-France à Toulouse.
Les agents de Météo-France devaient manifester vendredi devant le siège de Météo-France, dans le 7e arrondissement de Paris, durant un conseil d'administration de l'établissement public, qui a présenté en juin 2008 un plan global ramenant le nombre des centres départementaux de 100 à 40 d'ici 2017 et la suppression d'environ 500 postes.
"Plus de 60% des centres en grève, ça veut dire 60% des personnels, ça montre qu'il y a une mobilisation dans les régions et dans les centres qui sont directement menacés", a estimé le secrétaire du syndicat CGT de Météo-France à Toulouse, Emmanuel Celhay.
"On a des craintes pour notre établissement qui est reconnu internationalement, ça marche bien et ça risque de marcher beaucoup moins bien", a-t-il ajouté.
La direction justifie la restructuration par la nécessité de s'adapter aux évolutions technologiques et de faire face à la concurrence. En mars 2005, la Cour des comptes avait estimé que l'établissement public souffrait d'un problème de sureffectif.
L'intersyndicale (Spasmet-Solidaires, CGT, CFDT, FO) s'est déjà mobilisée l'an dernier, au moment de l'annonce du plan, et surtout à l'automne 2008, où 11 jours de grève ont été observés dans le plus important centre de Météo-France à Toulouse.