“La majorité des journalistes ont eu leur visa, il y a toutefois une dizaine de journalistes pour lesquels ce n‘est pas le cas”, a-t-on précisé. “Notre objectif c‘est que tout le monde parte, nous mettons tout en oeuvre pour y parvenir, en lien avec les autorités algériennes”.
Interrogé à ce sujet lundi soir sur le plateau de l’émission “Quotidien”, le chef de file de La République en marche (LREM) et ancien porte-parole du gouvernement Christophe Castaner avait jugé la situation “préoccupante”.
“Je pense que c‘est normal, pas pour vous individuellement, mais pour que tous les journalistes français puissent accompagner le président de la République française, ça me semble logique”, avait-il dit. “Ensuite, on ne peut pas imposer au pays qui nous accueille sa politique, mais je vous le dis très clairement : vous avez toute votre place pour accompagner ce déplacement du président de la République française.”
En avril 2016, Le Monde et le Petit journal s’étaient vus refuser leurs visas pour un déplacement de Manuel Valls, alors Premier ministre, à Alger, conduisant Libération Le Figaro et Radio France à renoncer au voyage en signe de protestation.
Lors de la conférence de presse conjointe du chef du gouvernement français et de son homologue algérien Abdelmalek Sellal, l‘AFP avait lu une déclaration commune des journalistes français présents exprimant leur “profond désaccord et [leur] émotion face à cette décision, contraire à toutes les pratiques, qui vise à sanctionner ces médias”.
Le Premier ministre algérien avait accusé lors de cette même conférence de presse Le Monde d‘avoir “gratuitement” porté “atteinte à l‘honneur, au prestige” du président Abdelaziz Bouteflika et s’était défendu de toute atteinte “à la liberté de la presse”.
Dans le collimateur des autorités algériennes, la publication par Le Monde d‘une photo du président Bouteflika en Une d‘une édition consacrée à “L‘argent caché des chefs d‘Etat” dans l‘affaire des “Panama Papers”. Le quotidien avait indiqué le lendemain qu‘il s‘agissait d‘une erreur et que le nom du président algérien n’était pas mentionné dans les fichiers des “Panama Papers”.
Interrogé à ce sujet lundi soir sur le plateau de l’émission “Quotidien”, le chef de file de La République en marche (LREM) et ancien porte-parole du gouvernement Christophe Castaner avait jugé la situation “préoccupante”.
“Je pense que c‘est normal, pas pour vous individuellement, mais pour que tous les journalistes français puissent accompagner le président de la République française, ça me semble logique”, avait-il dit. “Ensuite, on ne peut pas imposer au pays qui nous accueille sa politique, mais je vous le dis très clairement : vous avez toute votre place pour accompagner ce déplacement du président de la République française.”
En avril 2016, Le Monde et le Petit journal s’étaient vus refuser leurs visas pour un déplacement de Manuel Valls, alors Premier ministre, à Alger, conduisant Libération Le Figaro et Radio France à renoncer au voyage en signe de protestation.
Lors de la conférence de presse conjointe du chef du gouvernement français et de son homologue algérien Abdelmalek Sellal, l‘AFP avait lu une déclaration commune des journalistes français présents exprimant leur “profond désaccord et [leur] émotion face à cette décision, contraire à toutes les pratiques, qui vise à sanctionner ces médias”.
Le Premier ministre algérien avait accusé lors de cette même conférence de presse Le Monde d‘avoir “gratuitement” porté “atteinte à l‘honneur, au prestige” du président Abdelaziz Bouteflika et s’était défendu de toute atteinte “à la liberté de la presse”.
Dans le collimateur des autorités algériennes, la publication par Le Monde d‘une photo du président Bouteflika en Une d‘une édition consacrée à “L‘argent caché des chefs d‘Etat” dans l‘affaire des “Panama Papers”. Le quotidien avait indiqué le lendemain qu‘il s‘agissait d‘une erreur et que le nom du président algérien n’était pas mentionné dans les fichiers des “Panama Papers”.