Officiellement disponible dans une quarantaine de pays, Pokemon Go l'est désormais aussi dans l'archipel, pour les smartphones fonctionnant sur les systèmes Android de Google et iOS d'Apple.
Le studio américain Niantic, développeur de l'application, a confirmé la sortie sur son site internet.
"PokemonGo est arriiiiiiivé", s'enflammait aussitôt @skri0709 sur Twitter. "Pokemon Go est là, impossible de travailler", écrivait de son côté @yamaneko21.
A la Bourse de Tokyo, l'action Nintendo, inventeur il y a deux décennies de ces "monstres de poche", bondissait dans la foulée de 6,8% à 29.920 yens. Son cours a plus que doublé de valeur depuis le 6 juillet, veille du lancement de Pokemon Go. McDonald's Japan, partenaire du jeu, voyait dans le même temps son titre s'envoler de 9%.
Après avoir chassé les Pokemon sur leur console, les joueurs peuvent désormais les capturer dans la vraie vie, les yeux rivés sur leur téléphone, grâce à la réalité augmentée, une technologie qui fait apparaître des éléments virtuels dans le monde réel.
La France aurait de son côté dû accueillir le jeu la semaine passée, en même temps qu'une grande partie du reste de l'Europe. Cependant, The Pokemon Company, le groupe qui gère cette marque, a choisi de reporter son arrivée après l'attentat de Nice.
Au-delà de l'aspect ludique, la frénésie Pokemon Go a donné lieu à de nombreux incidents sur le globe, au point que les autorités de nombreux pays ont émis des recommandations pour une traque en toute sécurité.
Au Japon, le gouvernement a ainsi publié mercredi un dépliant des bonnes pratiques pour sensibiliser les enfants aux risques, leur rappelant par exemple de ne pas jouer à vélo ou de ne pas s'aventurer dans des endroits dangereux.
Le téléchargement du jeu est certes gratuit mais l'utilisateur est incité à mettre la main à la poche s'il veut ajouter certaines fonctionnalités supplémentaires, par exemple acheter de quoi nourrir les monstres qu'il a attrapés.
Le studio américain Niantic, développeur de l'application, a confirmé la sortie sur son site internet.
"PokemonGo est arriiiiiiivé", s'enflammait aussitôt @skri0709 sur Twitter. "Pokemon Go est là, impossible de travailler", écrivait de son côté @yamaneko21.
A la Bourse de Tokyo, l'action Nintendo, inventeur il y a deux décennies de ces "monstres de poche", bondissait dans la foulée de 6,8% à 29.920 yens. Son cours a plus que doublé de valeur depuis le 6 juillet, veille du lancement de Pokemon Go. McDonald's Japan, partenaire du jeu, voyait dans le même temps son titre s'envoler de 9%.
Après avoir chassé les Pokemon sur leur console, les joueurs peuvent désormais les capturer dans la vraie vie, les yeux rivés sur leur téléphone, grâce à la réalité augmentée, une technologie qui fait apparaître des éléments virtuels dans le monde réel.
La France aurait de son côté dû accueillir le jeu la semaine passée, en même temps qu'une grande partie du reste de l'Europe. Cependant, The Pokemon Company, le groupe qui gère cette marque, a choisi de reporter son arrivée après l'attentat de Nice.
Au-delà de l'aspect ludique, la frénésie Pokemon Go a donné lieu à de nombreux incidents sur le globe, au point que les autorités de nombreux pays ont émis des recommandations pour une traque en toute sécurité.
Au Japon, le gouvernement a ainsi publié mercredi un dépliant des bonnes pratiques pour sensibiliser les enfants aux risques, leur rappelant par exemple de ne pas jouer à vélo ou de ne pas s'aventurer dans des endroits dangereux.
Le téléchargement du jeu est certes gratuit mais l'utilisateur est incité à mettre la main à la poche s'il veut ajouter certaines fonctionnalités supplémentaires, par exemple acheter de quoi nourrir les monstres qu'il a attrapés.