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Ce forum de deux jours, le premier du genre, visait à réunir les responsables maghrébins de la sécurité routière. Selon de nombreux participants, le nombre d'accidents dans la région continue d'augmenter, en dépit du renforcement des campagnes de sécurité routière. Ces accidents ont un coût social chaque année plus important.
"Le Maroc est disposé à mettre son expérience en matière d’études scientifiques touchant la prévention et la sécurité routières à la portée des pays maghrébins", a déclaré le ministre marocain de l'Equipement et des Transports, Karim Ghellab.
"La problématique des accidents de la circulation est complexe", a-t-il ajouté. "Ainsi le partenariat en matière d’échange d’expériences s’avère-t-il nécessaire pour mettre fin à l’hécatombe générée par les routes. Les sociétés maghrébines se ressemblent beaucoup, ainsi que les problématiques qui se posent au niveau du Maghreb. En collaborant ensemble, nous pouvons améliorer le rendement collectif de la sécurité routière."
Dans une allocution lue en son nom lors de la séance inaugurale, le secrétaire général de l’Union du Maghreb Arabe (UMA) Habib Ben Yahya a salué la tenue de ce séminaire qui rejoint les préoccupations de cette instance maghrébine pour la prévention des accidents de la circulation, basées essentiellement sur le renforcement des mesures pratiques et législatives de contrôle et de sanction en matière de sécurité routière.
"Il est certes nécessaire de renforcer le contrôle et les sanctions pour limiter le phénomène des accidents qui ne cessent de s’accroître", a déclaré Afifi Fariki, le président de l'Organisation Arabe de Sécurité Routière, "mais sans pour autant oublier l’approche pédagogique basée sur la sensibilisation des citoyens."
Le directeur des infrastructures au secrétariat général de l’UMA Abdelkader Bouchentouf a déclaré pour sa part que les chiffres sont alarmants au niveau du Maghreb. La moyenne des tués dans des accidents de la route au Maroc est d’environ quatre mille personnes chaque année, et presque autant en Algérie.
"Aussi, les consultations maghrébines qui viennent de démarrer au Maroc s’avèrent-elles une initiative positive vers la voie de la lutte contre la prolifération des accidents de la circulation", a-t-il ajouté.
Il a appelé à multiplier ce genre de rencontres de coopération pour trouver en commun des solutions efficaces.
"Les solutions pratiques pour venir à bout de ce problème existent, en faisant endosser la responsabilité aux pouvoirs publics, à la société civile et aux individus", a déclaré Joop Goos, le président de Prévention Routière Internationale, une organisation internationale de sécurité routière.
"Le Maroc est disposé à mettre son expérience en matière d’études scientifiques touchant la prévention et la sécurité routières à la portée des pays maghrébins", a déclaré le ministre marocain de l'Equipement et des Transports, Karim Ghellab.
"La problématique des accidents de la circulation est complexe", a-t-il ajouté. "Ainsi le partenariat en matière d’échange d’expériences s’avère-t-il nécessaire pour mettre fin à l’hécatombe générée par les routes. Les sociétés maghrébines se ressemblent beaucoup, ainsi que les problématiques qui se posent au niveau du Maghreb. En collaborant ensemble, nous pouvons améliorer le rendement collectif de la sécurité routière."
Dans une allocution lue en son nom lors de la séance inaugurale, le secrétaire général de l’Union du Maghreb Arabe (UMA) Habib Ben Yahya a salué la tenue de ce séminaire qui rejoint les préoccupations de cette instance maghrébine pour la prévention des accidents de la circulation, basées essentiellement sur le renforcement des mesures pratiques et législatives de contrôle et de sanction en matière de sécurité routière.
"Il est certes nécessaire de renforcer le contrôle et les sanctions pour limiter le phénomène des accidents qui ne cessent de s’accroître", a déclaré Afifi Fariki, le président de l'Organisation Arabe de Sécurité Routière, "mais sans pour autant oublier l’approche pédagogique basée sur la sensibilisation des citoyens."
Le directeur des infrastructures au secrétariat général de l’UMA Abdelkader Bouchentouf a déclaré pour sa part que les chiffres sont alarmants au niveau du Maghreb. La moyenne des tués dans des accidents de la route au Maroc est d’environ quatre mille personnes chaque année, et presque autant en Algérie.
"Aussi, les consultations maghrébines qui viennent de démarrer au Maroc s’avèrent-elles une initiative positive vers la voie de la lutte contre la prolifération des accidents de la circulation", a-t-il ajouté.
Il a appelé à multiplier ce genre de rencontres de coopération pour trouver en commun des solutions efficaces.
"Les solutions pratiques pour venir à bout de ce problème existent, en faisant endosser la responsabilité aux pouvoirs publics, à la société civile et aux individus", a déclaré Joop Goos, le président de Prévention Routière Internationale, une organisation internationale de sécurité routière.
