« L’avenue des palmiers blessés », le cinquième long métrage du réalisateur, après « Le chant de noria » en 2002, est une co-production tuniso-algérienne, dont les événements se rapportent aux péripéties de la guerre de Bizerte, à travers une douloureuse quête de vérité menée par une jeune tunisienne qui enquête sur la mort de son père durant la guerre de Bizerte en 1961.
Selon le réalisateur, le film qui, dans sa démarche stylistique, s’inscrit dans le genre du cinéma néo-réaliste, s’oriente « vers un plaidoyer pour une écriture scientifique et rigoureuse de l’histoire ».
La liste artistique regroupe 25 comédiens tunisiens et algériens à savoir Rym Takoucht qui vient d’ailleurs de remporter le prix du meilleur espoir féminin lors des Journées cinématographiques de Carthage JCC 2008, pour son rôle dans le film « Mascarades » qui a obtenu le prix de la meilleure oeuvre lors de cette 22ème édition.
Parmi les acteurs tunisiens figurent notamment, Neji Najeh, Leila Waz, Dalila Meftahi, Fethi Msalmani, Chedli Arfaoui, Slah Msaddak, Bechir Drissi et Hassene Kchache de l’Algérie.
La nouvelle aventure cinématographique « L’avenue des palmiers blessés » est le cinquième long métrage du réalisateur Abdellatif Ben Ammar. Son premier long métrage « Une si simple histoire » en 1969 a remporté le Tanit de Bronze aux JCC 1970.
« Sejnane » (1974), son second film a reçu le Tanit de Bronze aux JCC 1974 et le prix spécial du jury au festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) 1976. Son troisième long métrage « Aziza » en 1980 a, quant à lui, obtenu le tanit d’or aux JCC 1980 et a été sélectionné à la quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes en 1980.
« Le chant de Noria » a été son quatrième long métrage en 2002
Selon le réalisateur, le film qui, dans sa démarche stylistique, s’inscrit dans le genre du cinéma néo-réaliste, s’oriente « vers un plaidoyer pour une écriture scientifique et rigoureuse de l’histoire ».
La liste artistique regroupe 25 comédiens tunisiens et algériens à savoir Rym Takoucht qui vient d’ailleurs de remporter le prix du meilleur espoir féminin lors des Journées cinématographiques de Carthage JCC 2008, pour son rôle dans le film « Mascarades » qui a obtenu le prix de la meilleure oeuvre lors de cette 22ème édition.
Parmi les acteurs tunisiens figurent notamment, Neji Najeh, Leila Waz, Dalila Meftahi, Fethi Msalmani, Chedli Arfaoui, Slah Msaddak, Bechir Drissi et Hassene Kchache de l’Algérie.
La nouvelle aventure cinématographique « L’avenue des palmiers blessés » est le cinquième long métrage du réalisateur Abdellatif Ben Ammar. Son premier long métrage « Une si simple histoire » en 1969 a remporté le Tanit de Bronze aux JCC 1970.
« Sejnane » (1974), son second film a reçu le Tanit de Bronze aux JCC 1974 et le prix spécial du jury au festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) 1976. Son troisième long métrage « Aziza » en 1980 a, quant à lui, obtenu le tanit d’or aux JCC 1980 et a été sélectionné à la quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes en 1980.
« Le chant de Noria » a été son quatrième long métrage en 2002