C'est la quatrième greffe réussie du visage réalisée dans le monde, mais les précédentes étaient considérées comme des greffes "partielles". L'opération a eu lieu il y a quelques semaines sans que la clinique révèle l'identité de la patiente.
Edition abonnés Archive : Première greffe mondiale de visage par une équipe française
La première greffe partielle du visage a été réalisée en 2005 à Amiens en France. Pour cette opération, les professeurs Bernard Devauchelle, du CHU d'Amiens, et Jean-Michel Dubernard, du CHU de Lyon, avaient réalisé une greffe du nez, de la joue, des lèvres et du menton sur une femme de 38 ans, Isabelle Dinoire, qui avait été défigurée par son chien. Trois ans plus tard, elle explique avoir "fait beaucoup de kiné pour réactiver tous les muscles" et que "tout est redevenu normal question sensibilité".
Une opération controversée
En 2006, un Chinois de 30 ans a subi une greffe du visage incluant une connexion avec des veines et des artères, la réfection du nez, des sinus et des lèvres. Il avait été attaqué par un ours.
En 2007, un autre Français de 29 ans a subi également une greffe partielle après le retrait d'une massive tumeur faciale.
Les greffes du visage sont controversées car, comportent des risques, elles sont réalisées davantage pour améliorer la vie du patient que pour des raisons impérieuses de santé. Parmi les risques, figurent la dégénérescence des tissus implantés et les complications dues aux médicaments anti-rejet que le patient est censé prendre toute sa vie.
Edition abonnés Archive : Première greffe mondiale de visage par une équipe française
La première greffe partielle du visage a été réalisée en 2005 à Amiens en France. Pour cette opération, les professeurs Bernard Devauchelle, du CHU d'Amiens, et Jean-Michel Dubernard, du CHU de Lyon, avaient réalisé une greffe du nez, de la joue, des lèvres et du menton sur une femme de 38 ans, Isabelle Dinoire, qui avait été défigurée par son chien. Trois ans plus tard, elle explique avoir "fait beaucoup de kiné pour réactiver tous les muscles" et que "tout est redevenu normal question sensibilité".
Une opération controversée
En 2006, un Chinois de 30 ans a subi une greffe du visage incluant une connexion avec des veines et des artères, la réfection du nez, des sinus et des lèvres. Il avait été attaqué par un ours.
En 2007, un autre Français de 29 ans a subi également une greffe partielle après le retrait d'une massive tumeur faciale.
Les greffes du visage sont controversées car, comportent des risques, elles sont réalisées davantage pour améliorer la vie du patient que pour des raisons impérieuses de santé. Parmi les risques, figurent la dégénérescence des tissus implantés et les complications dues aux médicaments anti-rejet que le patient est censé prendre toute sa vie.