Silvio Berlusconi
"Je suis tout à fait d'accord avec votre idée, je l'étais même avant que vous l'ayez eue", écrit dans sa lettre publiée par le quotidien "Il Foglio" M. Berlusconi, qui s'adresse à son ancien porte-parole Giuliano Ferrara, directeur du journal.
"Tony Blair dispose de toutes les compétences nécessaires pour assurer le rôle de premier président de l'UE, tel qu'il est défini par le traité de Lisbonne, et pour être nommé à cette position dès qu'il sera juridiquement et politiquement possible d'appliquer la clause qui prévoit le renouvellement de la gouvernance de l'UE", ajoute-t-il.
"En accord avec de nombreux autres chefs d'Etat et de gouvernement et en coordination avec les forces vives du parlement européen, mon gouvernement et moi nous mobiliserons pour qu'un grand héritage politique, bâti à force de courage, d'équilibre et de prudence (...) ne soit pas dispersé", conclut le chef du gouvernement.
Le ministre italien des Affaires étrangères Franco Frattini avait déclaré le 6 octobre que l'Italie appréciait Tony Blair et qu'elle le verrait bien assurer la présidence de l'Union européenne, tout en précisant qu'elle comprenait la "perplexité" de certains pays à son égard.
"Tony Blair dispose de toutes les compétences nécessaires pour assurer le rôle de premier président de l'UE, tel qu'il est défini par le traité de Lisbonne, et pour être nommé à cette position dès qu'il sera juridiquement et politiquement possible d'appliquer la clause qui prévoit le renouvellement de la gouvernance de l'UE", ajoute-t-il.
"En accord avec de nombreux autres chefs d'Etat et de gouvernement et en coordination avec les forces vives du parlement européen, mon gouvernement et moi nous mobiliserons pour qu'un grand héritage politique, bâti à force de courage, d'équilibre et de prudence (...) ne soit pas dispersé", conclut le chef du gouvernement.
Le ministre italien des Affaires étrangères Franco Frattini avait déclaré le 6 octobre que l'Italie appréciait Tony Blair et qu'elle le verrait bien assurer la présidence de l'Union européenne, tout en précisant qu'elle comprenait la "perplexité" de certains pays à son égard.