Les premières négociations qui avaient eu lieu dix jours auparavant avaient déjà échoué et les chefs d’Etat avaient dû se résigner à fixer la date du 30 juin pour tenter de sortir de l’impasse lors d’une nouvelle rencontre.
Pour être désigné, le futur président de la Commission européenne doit recueillir le vote de 22 des 28 pays de l’UE.
Après de très longues discussions qui se sont étalées jusque tard dans la nuit de dimanche à lundi, c’est finalement sans aucun compromis que les 28 ont clôturé leur réunion.
« Le PPE (parti populaire européen de droite) refuse l'accord qui est proposé. Il est mort. Il n'y aura pas d'accord ce soir », a déploré l’un des participants sous couvert d’anonymat, cité par France 24.
Le parti de droite, majoritaire au parlement européen, avait dans un premier temps accepté de renoncer à la présidence de la Commission européenne en soutenant le démocrate néerlandais Frans Timmermans, en échange de l’obtention du poste de président du parlement européen.
Malgré les négociations, les libéraux ont fait échouer l’accord qui était proposé par la chancelière Angela Merkel.
Emmanuel Macron a, pour sa part, proposé le commissaire en charge des négociations sur le Brexit, Michel Barnier, la commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager, et le premier vice-président de la Commission, Frans Timmermans.
Le président français, qui ne s’est pas exprimé à l’issue du haut sommet, avait indiqué quelques heures avant sur son compte Twitter : « Nous tenons un Conseil européen où il nous faut constituer la nouvelle équipe de l'Europe. C'est elle qui devra porter le projet voté par les citoyens européens lors des élections de mai. Mes critères : la compétence et l’expérience, les équilibres géographiques et la parité».
Une nouvelle date pourrait donc être fixée pour tenter de faire aboutir les pourparlers.
Outre le poste de président de la Commission européenne, les 28 doivent également désigner les successeurs de Frédérica Mogherini au poste de haut-représentant de l’UE, et celui de Mario Draghi à la Banque centrale européenne.
Pour être désigné, le futur président de la Commission européenne doit recueillir le vote de 22 des 28 pays de l’UE.
Après de très longues discussions qui se sont étalées jusque tard dans la nuit de dimanche à lundi, c’est finalement sans aucun compromis que les 28 ont clôturé leur réunion.
« Le PPE (parti populaire européen de droite) refuse l'accord qui est proposé. Il est mort. Il n'y aura pas d'accord ce soir », a déploré l’un des participants sous couvert d’anonymat, cité par France 24.
Le parti de droite, majoritaire au parlement européen, avait dans un premier temps accepté de renoncer à la présidence de la Commission européenne en soutenant le démocrate néerlandais Frans Timmermans, en échange de l’obtention du poste de président du parlement européen.
Malgré les négociations, les libéraux ont fait échouer l’accord qui était proposé par la chancelière Angela Merkel.
Emmanuel Macron a, pour sa part, proposé le commissaire en charge des négociations sur le Brexit, Michel Barnier, la commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager, et le premier vice-président de la Commission, Frans Timmermans.
Le président français, qui ne s’est pas exprimé à l’issue du haut sommet, avait indiqué quelques heures avant sur son compte Twitter : « Nous tenons un Conseil européen où il nous faut constituer la nouvelle équipe de l'Europe. C'est elle qui devra porter le projet voté par les citoyens européens lors des élections de mai. Mes critères : la compétence et l’expérience, les équilibres géographiques et la parité».
Une nouvelle date pourrait donc être fixée pour tenter de faire aboutir les pourparlers.
Outre le poste de président de la Commission européenne, les 28 doivent également désigner les successeurs de Frédérica Mogherini au poste de haut-représentant de l’UE, et celui de Mario Draghi à la Banque centrale européenne.